Chapitre 47 : Le Roi Ezéchiel et séjour provisoire au Royaume

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Pdv de Talia

Rick, Michonne, Daryl, Ethan, Carl, Maggie, Sasha, Rosita, Tara, Josh, Jésus, Tressie et moi entrâmes alors dans le manoir pour aller parler à Grégory afin de le convaincre à s'allier à nous avec la Colline pour vaincre Negan et les Sauveurs. Nous nous rendîmes donc dans son bureau et fîmes notre requête auprès de lui.

- Non ! Il n'en est pas question ! Dit Grégory, d'un air catégorique. C'était pas ça notre accord. Vous aviez promit que vous pouviez nous débarrasser des Sauveurs et vous avez échouer. Nous rappel-t-il, d'un air grondeur. Alors quelque soit l'arrangement que nous avions passé, il est maintenant nul et non-avenu. Déclare-t-il, d'un air sérieux. Nous ne sommes pas partenaires en affaires, nous ne sommes pas amis et nous ne nous connaissons pas. Nous ne nous sommes jamais rencontrés. Je ne vous doit rien. Nous dit-il, d'un air froid et méprisant.

- Vous semblez oublier que sans nous, vous vous seriez fait assassiner. Lui rappelais-je, d'une voix fronde et grondeuse.

- Non. Je ne vous dois rien. C'est vous qui avez une dette envers moi. Réplique-t-il, d'un air sec. J'ai prit de grands risques en accueillant vos réfugiés. Nous rappel-t-il, d'un air toujours aussi grondeur.

- Oui... Tu as prouvé ta bravoure en restant ici pendant que Maggie, Sasha, Ethan et Josh sauvaient la ville. Ton courage nous a tous impressionné. Souffle Jésus, d'un ton sarcastique.

- Hé. Tu travailles pas pour moi, toi ? On est pas dans le même camp ? Lui demande-t-il, d'un air scandalisé du fait qu'il ne soit pas de son côté et intrigué.

- Grégory. L'appel Rick, d'un ton exaspéré. On est déjà quasiment en guerre. Lui dit-il, d'un ton grondeur.

- Pas moi, vous. Réplique-t-il, d'un air toujours aussi froid et toujours aussi sec.

- Oui, nous. Confirme-t-il. Et on va l'emporter. Lui assure-t-il, d'un ton confiant et rassurant.

- Ces gens sont des tueurs. Lui rappel-t-il, d'un air toujours autant grondeur, en sous-entendant qu'on ne fait pas le poids face à eux, alors qu'il a tort.

- Et c'est comme ça que vous voulez vivre ? En vous soumettant à eux ? En les laissant tuer les vôtres ? Lui demande-t-il, d'un ton scandalisé et intrigué.

- On choisit pas toujours la vie qu'on a. Lui répondit-il, d'un air sombre. Et il faut parfois s'estimer heureux du peu qu'il nous reste. Déclare-t-il, d'un air sérieux.

- De combien de personnes on peut s'passer ? Combien de gens ici savent s'battre ? Lui demande Maggie, d'une voix curieuse et intriguée.

- Comment ça "on" ? Demande-t-il, d'un air perdu et tout aussi intrigué, avant de pousser un rire amusé. Je saurais même dire combien on est, Margarèthe. Lui avoue-t-il, d'un air sincère.

- En même temps, t'as jamais prit la peine d'essayer de connaître vraiment les gens qui vivent ici. Lui fait remarquer Tressie, d'une voix sérieuse.

A l'entente de ses paroles, il lui lança un regard noir et méprisant.

- Et puis, qu'est-ce que ça change ? Souffle-t-il. C'est vrai... C'est... Vous... Vous allez faire quoi ? Envoyer au front une troupe de cultivateur de Sorgho ? Nous demande-t-il, d'un air ironique et intrigué. Parce que c'est ce qu'on est ici, des gens qui cultivent la terre. Déclare-t-il, d'un air sérieux. Ils voudront jamais s'battre. Dit-il, d'un air sûr de ce qu'il avance.

- Ah vraiment ? Tu leur as demandé ? Lui demande Tressie, d'une voix moqueuse et intriguée.

- Elle a raison. Approuve Tara, en étant de son avis. Vous vous trompez. Quand on donne aux gens une chance de faire c'qui est juste, ils sont partant. Déclare-t-elle, d'une voix sérieuse. Ils sont capables de se... Commence-t-elle à dire.

Survivre, c'est vivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant