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Pov:Alberto:

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Pov:Alberto:

17 janvier 2009:

-Putain ! Ai-je jurer, ma voix raisonnent dans la petite ruelle.

Je venais de perdre le groupe de Bill, la rue était déserte pas une trace de leurs présence.Comment avions nous pu les perdre ?Cette rue paraissait pourtant si étroite.Mais ils nous avaient quand même échapper.

-¡Jefe, la policía! (Chef, les flics !) Hurla l'un de mes hommes en pointant une voiture, apparent être celle d'un policier.La voiture roulait en notre direction, la sirène retentissais en boucle dans la petite rue ainsi que les fars, nous éclairant.

-¡Corre! (Courez ! )Ai-je hurler en prenant mes jambes à mon cou, et partant  dans la direction opposer du véhicule qui semblait avoir gagner en vitesse lorsqu'il nous vit prendre la fuite.

Notre course fut éclairer par les fars de la voiture et le bruit du moteur chaud.Nos pas frappant le sol, ils résonnait dans la ruelle.J'ai rapidement empreinter un chemin menant à l'arrière d'un hôtel, empêchant la voiture des policiers de passé.Lors de ma feinte, j'entendis les roues de leurs voitures grincer au sol avant qu'ils ne claque leurs portière, venant se mettre a courir après nous.Une vrai course poursuite vins se faire entre moi et mes hommes ainsi que les policiers, qui tentais temps bien que mal d'enjambées les obstacle que je repousser sur leurs chemins, des contenaire, des vélos.La ruelle était éclairer par la faible lumière des lampadaires, nous laissant à peine percevoir notre chemin.

-¡arrestarte! en nombre de la ley! (Arrêtez-vous ! Au nom de la loi !)Hurla l'un des policiers qui courait  derrière, nous pointant de sa lampe torche.

Personne n'exécuta son ordre continuant à courir devant eux.

-Les gars aidez moi avec sa !Ai-je hurler en essayant de faire basculer un énorme contenaire vert, pour bloquer le passage.Je tirais sur l'engins, misant tout mon poids lorsque je basculait mon corps en arrière.

Deux de mes hommes firent marche arrière, se mettant à mes cotes pour tirer sur l'engin qui finit par tomber, Nous faisant reculer synchroniquement en arrière pour éviter de nous faire écraser les pieds.Une fois l'objet au sol, nous sommes rapidement reparti voyant que les deux hommes se rapprochaient de nous.Ne pouvant pas enjamber aussi rapidement leurs obstacle.L'un des hommes frappa violemment du poing sur la caisse en signe de défaite.Ils nous avaient perdu, nous avions réussi a les semer.

 Non loin de là, au bout du chemin que nous avions décider d'empreinter, un motel.Les policier se trouvaient loin derrière, nous avons donc profiter pour y entrer pour y passer la nuit.Le réceptionniste écarquilla grand les yeux lorsqu'il nous vit arriver.Nous n'étions pas inconnu dans les environs.

-Buenas noches ¿En qué puedo ayudarle? (Bonsoir, en quoi puis-je vous aidez? )Demanda t'il la voix tremblante, regardant vers le haut par la différence de taille.

In the back of my mind (pause indéterminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant