🔞🔞Chapitre 28 2/2 🔞🔞

354 29 16
                                    


⚠️⚠️❌❌ ce chapitre comporte des scènes de violence... ❌🔞

——————————

Le claquement de la porte me fait sursauter. Brusquement, je me tourne retenant mon souffle et mon cœur rate plusieurs battements quand je reconnais la personne qui est entrée. Wyatt. Ses bras sont croisés au niveau de son torse. Je déglutis, et tente de me calmer. Ce n'est qu'un homme, rien d'autre, il ne te fera rien. Il veut seulement te faire peur. Mais... Cet homme qui se trouve dans les toilettes des femmes. Mon muscle cardiaque cogne de nouveau contre mon thorax.

De là où il est, on dirait un monstre tapi dans l'ombre, un film d'horreur changé en réalité. Mon corps se parsème de picotements telles des aiguilles qui pénètrent ma peau tout en même temps, pendant que mon palpitant prend une cadence déchainée, entrainant mon souffle à devenir sifflant. J'essaye de ne rien laisser paraître et tente un sourire afin de lui montrer que je n'ai pas peur de lui. Ses lèvres ne s'étirent pas dans un rictus, non, il ne démontre rien. Mais je constate qu'il me reluque de haut en bas toujours d'une expression neutre. Je me mets à déglutir la boule présente dans ma gorge en vain cette dernière s'est littéralement asséchée.

Mes muscles commencent à trembler, mes mains deviennent froides et moites sentant le danger venir. Je me force à faire comme s'il n'existait pas et essaye de me concentrer ailleurs. Je dois sortir d'ici.

Quand ses pas frôlent le sol tout en résonnant dans les toilettes, je retiens mon souffle, ferme les yeux et mon rythme cardiaque accélère de plus en plus. Non, non !

Je le sens se positionner dans mon dos.

— Regarde-moi, m'ordonne-t-il d'une voix dure.

Trop peur pour pouvoir bouger un membre lorsque sa main touche la peau de mon cou. Je suis direct prise de vertiges, et ne peut déglutir correctement. Une envie de vomir me saisit dès que son nez effleure mon cuir chevelu et son souffle entre en contact avec.

— Dis-moi, chuchote-t-il. Si je te passe deux cents dollars, tu baises avec moi ?

— Quoi ? balbutié-je paralysée.

Son rire satanique me fait convulser d'effroi. Wyatt descend avec lenteur sa main sur ma poitrine, sa deuxième vient au niveau de mon cou afin de le serrer, alors qu'il lèche ma joue.

— Et si je te baisé? me demande-t-il d'une voix amusée.

— Non, soufflé-je sentant des larmes ruisseler le long de visage.

— Tu sais que j'aime humer ta peur ? Tu es plus enivrante ainsi, murmure-t-il à mon oreille tout en fermant les yeux. Je sais que ton corps me supplit de te baiser là, sur le lavabo. Imagine ma bite dans ta chatte étroite, humide et chaude. Elle mouille pour moi, n'est-ce pas ?

Son visage exprime de l'excitation, quand ses dents mordillent mon lobe, je retiens mon souffle en écarquillant les yeux, pendant qu'il glisse sa main le long de mon ventre et que l'autre serre davantage mon cou. La douleur qu'il provoque me donne la nausée, et j'ai la sensation que mon sang ne parvient plus à rejoindre mon cerveau. J'efforce de reprendre ma respiration, mais elle s'immisce difficilement. Je viens direct placer mes mains sur son bras pour qu'il lâche prise, sauf que c'est pire.

— Tout comme lui, tu n'aurais jamais dû voir le jour.

Je pousse un cri, sans succès, il reste coincé dans mon œsophage.

Dès qu'il arrive au niveau de mon intimité, écarquillant les yeux, j'essaye de donner un coup de tête à plusieurs reprises et finit par réussir. La douleur de son visage contre mon crâne me fait mal, mais je me concentre. Il relâche son emprise, recule, grogne et vient tenir son nez où entre ses doigts ruissèle un liquide rouge. Je reprends brusquement ma respiration et me mets à tousser. Bien fait !

Cependant, son expression furieuse me réaliser aussitôt regretter mon geste. Violemment, il m'attrape par les épaules et me pousse, je perds l'équilibre et tombe, dans ma chute, ma tête heurte le sol, m'assommant quelque peu. J'ai l'impression qu'on vient de me donner un gros coup de marteau, refaisant surgir mon envie de vomir. Je place mes mains à ma tête et me remue afin de me mettre à quatre pattes. J'ai mal !

Je l'entends approcher, il se positionne au-dessus de moi, m'empoigne de manière à pouvoir me retourner sur le dos, bloquant mes bras avec ses genoux. Son visage ne montre qu'une chose qui me glace le sang, le désir de me tuer. J'ai peur, je pleure, je meurs...

— Sale pute ! vocifère-t-il tout en me postillonnant dessus.

La trouille me cloue une seconde fois, mon cœur cogne tellement fort que je peine à prendre de bonne inspiration. J'ai envie de crier, d'appeler quelqu'un. Sauf que rien ne sort. Et c'est là que la phrase de l'autre femme me revient. Nathanne n'est pas dans l'enceinte. Je déglutis en détournant la tête. Je vais mourir... maman je t'aime... Laury je...

Sa main empoigne avec violence mes cheveux pour que je le regarde droit dans ses yeux bleus foudroyants de rage. Ses genoux commencent à bloquer la circulation du sang dans mes bras, me faisant souffrir. Je prie de toute mes forces afin que Nathanne ait l'idée de venir ici, ou toute autre personne.

— Tu sais ce qu'on fait aux putes nous ? On les viole ! Sale trainée!

Sur ces mots, il prend de l'élan et me fout un gros poing dans la figure, la douleur m'arrache un souffle. Ensuite, il continue en me donnant cette fois une claque.

— Et ça, c'est pour ton coup poufiasse, ta mère aurait dû t'avorter ! Mais ne t'en fais pas, je vais remédier à ça.

Mon ventre se tord. Brusquement, je me retourne sentant la nausée venir, trop tard, mon estomac se déverse sur une partie de ses jambes.

— Aaaah ! Mais ! râle-t-il se relevant rapidement.

Mon corps se crispe pensant qu'il allait me mettre un coup de pied, par chance, il s'est seulement contenté de me menacer si je disais quoi que ce soit.

———————————-

Hey coucou! 👋

J'ai eu du mal à écrire cette scène... 😢🔞

Merci de continuer l'aventure avec moi ! Je vous aimes ! ❤️❤️
Si toi aussi tu aime ! Oublie pas la petite ⭐️ et je te remercie d'avance hihi ❤️❤️

BIG BISOUSSSSS❤️❤️🥰🥰

LES YEUX DU SCANDALE. DARKROMANCE. (réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant