Égaré ( En Cours De Correction)

partager un moment hors du temps

Adam

Mais putain cette fille a les lèvres les plus addictives, que je n'ai jamais goûtées et plus je les goûte, les malmènes plus j'en veux. Mais c'est qu'avec Lou, ça ne règle pas tout, qu'un simple baisé ou des carresses ne détruira pas cette barrière. Même si ça blesse mon égo d'homme, cette femme n'est pas prête à céder un bout de terrain. Il faut que je lui prouve chaque jour ma sincérité, mon envie d'être lié à elle, par n'importe quel moyen.

Mes mains descendent doucement sur sa peau satinée, à la senteur fraise, moi aussi d'ailleurs, je me rends compte, que maintenant, que ça ne fait pas très mâle comme odeur, mais on s'en fou, c'est pour elle. Ma fierté se gonfle du gémissement de plaisir que ses belles lèvres sucrées lâchent dans une ultime déclaration de bien être en se blotissant contre moi. Lentement je descends mes mains de plus en plus bas, en passant par ses deux monts, dont je titille les pointes, penche ma tête pour être au bon niveau, ma bouche se rajoute à la danse, en les mordillant, les suçant, les cajolant avec passion, celle-ci si fulgurante, telle la lave d'un volcan. Je reste là, attendant de voir sa réaction, qui ne tarde pas, quand d'un mouvement de hanche, elle me chevauche, lève son bassin en reculant légèrement et passe une main sur le derrière de ma tête, me demandant implicitement de descendre plus bas, mmmmh sans soucis.

Biensûr, que je vais le faire, faudrait être fou pour refuser d'embrasser ses belles lèvres, sûrement moites, je n'ai pas besoin d'y réfléchir à deux fois, je le fait. De plus j'avais très envie de la goûter, alors j'attrape ses hanches la soulève à hauteur de mon visage et plonge sur son hantre la dévore avec avidité, alors qu'elle s'agrippe au rebord de la baignoire les yeux écarquillés. La bouche ouverte à haleter de plus en plus, mais je n'ai pas envie de la faire jouir maintenant, alors je n'attends pas en me levant, en la soulevant dans mes bras et l'emporte dans la première chambre que je trouve, la dépose rapidement et continue en la torturant, comme un affamé, la faisant presque crier, mais elle se retient, ce qui me fait sourire, j'arrête remonte le long de son corps, en ne la quittant du regard et elle fait une moue déçue que j'arrête, alors près de sa bouche je lui dis.

__ J'en ai pas fini mon ange.

__ Qu'est-ce que tu fais ?

Et heureusement, j'ai des préservatifs sur moi, alors file les chercher dans mon jean et reviens en courant trop peur qu'elle change d'avis, j'en enfile un rapidement et me cale entre ses cuisses.

__ Tu me fais confiance ?

Un doute fait palpiter mon coeur, quand elle reste silencieuse, mais fini par acquiescer, et je n'attends pas pour le faire. Alors qu'une pointe perce mon cœur, car si elle dit oui, c'est juste qu'elle a envie de moi c'est tout, mais que puis-je dire quelque part je l'ai cherchée. Je cède, alors que j'aurais pu arrêter là, mais malheureusement ou heureusement pour elle, je tiens à elle et puis j'ai trop envie maintenant que je l'ai goûté et j'ai besoin de la sentir autour de moi, d'être au chaud en elle. J'ai trop envie d'elle, au point où je pourrais devenir fou sans ça, je plonge comme un camé et la fait mienne. Alors qu'elle rejète la tête en arrière en poussant un petit cri d'extase, je soulève son bassin et fais des mouvements profonds de va et vient, jusqu'à la garde, je veux la marquer de ma semence en l'imprégnant sur la peau de son ventre, en coulant entre ses cuisses.

__ Tu prends la pilule ?

__ Oui, dit-elle difficilement sous mes coups de rein.

__ Te détrompe pas je veux des gosses un jour, mais je veux profiter de nous deux avant, dis-je en accélérant encore plus.

Je veux lui faire crier mon nom, je veux la voir voler en éclat sous mes assauts.