Stars_girly présente...
𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐚̂𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬
𝐭𝐫𝐚𝐜𝐞́𝐞𝐬
Grandir dans un monde où la violence règne, c'est le destin qui collait à la peau de Roam Vittor...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
— ...Ce sera tout pour ce soir, mon ange.
Il se décolle de moi. J'arque un sourcil. Holt me tourne le dos pour s'installer dans sa couchette. Je le regarde faire, les bras croisés sous ma poitrine.
— Sérieusement ?
— Il est minuit passé Cendrillon, j'avais oublié, nous ne sommes plus ensemble désormais.
Quel connard ! Il est obligé de me faire chier, même maintenant !
— Très bien, je vais aller parler avec Max, puisque tu es fatigué. Je déclare en lui tournant à mon tour le dos, un sourire vainqueur aux lèvres.
Je m'apprête à ouvrir le rideau, quand l'un de ses bras tatoués et musclés s'enroule autour de ma taille. Mon bassin tape contre le bas-ventre d'Holt. Je me tourne rapidement face à lui, le défiant du regard.
— Je ne suis plus ta copine, je fais ce qu'il me plaît.
— Peut-être, mais tu es mon élève. Et je t'ordonne de retourner à ta place. Ne t'aventure pas sur un terrain que tu ne connais pas, mon ange.
Je me détache de son étreinte, m'allongeant dos à lui, dans ma couchette.
— Pas de « bonne nuit » ?
— Hum, tu ne vois pas que je dors..., je fais semblant de bailler, un rictus au creux des lèvres.
Je l'entends s'affaler dans son lit. Mes yeux se ferment peu à peu. Ma conscience n'arrive toujours pas à assimiler ce qu'il vient de se produire. Mais il est la personne qui me fait le plus tourner en bourrique, qui provoque ses étranges papillons dans mon ventre et qui fait monter en un rien de temps ma température.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je me réveille brusquement, des secousses. J'en ai horreur, pas parce que j'en ai peur, mais parce qu'elles durent indéfiniment. Je passe la manche de mon pull sur la sueur perlante de mon front. Les grognements d'Holt m'indiquent qu'il se réveille peu à peu. Mon corps se met à trembler violemment, sans que je ne puisse l'arrêter. Je saisis ma couette enfouissant ma tête dedans, essayant désespérément d'occuper mon esprit. Mais la voix rauque d'Holt me sort de mes pensées.
