𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟿

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  Mes yeux sortaient littéralement de leurs orbites. Sa robe blanche moulante exhibait ses formes à la vue de tous, ce qui fit monter en moi un sentiment étrange : de la jalousie.

  Comme le premier jour, elle dansait avec Summer. Me coeur tambourinait contre ma poitrine. Quand son regard croisait le miens, elle m'offrît son magnifique majeur avec un petit sourire mesquin.

  Je souriais en coins. Connor prenait place à côté de moi, suivi de Liam. Le Brun s'esclaffait :

  — C'est pas les filles ?

  — Si. Confirmait Connor.

  — Et la tienne a une putain d'écharpe hilarante ! Je te pari deux cents dollars que Summer lui as acheté !

  — Sérieusement ? « Plus baisable dans onze jours messieurs » ? Je vais la tuer.

  Connor fusillait du regard Summer. La brune ne le voyait pas et continuait de danser avec ses deux amies. Les musiques s'enchaînaient et elles ne quittaient pas la piste de danse.

  Je serrais la mâchoire. Un grand blond s'approchait d'elle, le sourire aux lèvres. En réponse, Roam lui offrait une accolade tout en rigolant. Je crevais d'envie de descendre et de lui faire ravaler son putain de sourire de petit merdeux.

 Je crevais d'envie de descendre et de lui faire ravaler son putain de sourire de petit merdeux

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  Hugo s'approchait de moi pour m'offrir une accolade amicale. Je ne m'attendais pas du tout à le croiser ici, et lui nos plus visiblement.

  — Tu n'est pas dans le Mississippi ? Me demandait-il par dessus la musique.

  — Non ! Je suis ici en vacances...avec mes copines !

  Summer et Cornelia lui souriaient pour appuyer mes dires. Il ne faisait que me détailler du regard. J'étais mal à l'aise. Il était comme les porc qui me regardait avant de me souiller, encore et toujours. Pour le faire revenir sur mes yeux, je demandais à mon tour :

  — Et toi ?

  — J'habite ici en réalité ! Mais mes parents vivent à Oxford. L'entreprise que je possède est familiale !

  — Ahh, d'accord !

  — Tu veux...boire quelque chose ? Proposait il.

  — Je euh...attends je demande à mes amies si ça ne les dérange pas.

  Paniqué, je me tournais vers elle. Je me penchais à leurs oreilles pour susurrer :

  — Il veut boire un verre ! Je fais quoi !

  — Vas-y ! Les garçons nous fixent, c'est le moment idéal ! Conseillait Summer.

  — Oui ! Confirmait la future mariée.

  J'acquiesçais d'un signe de tête et partie avec Hugo jusqu'au bar. Là-bas, il demandait deux shots de téquila. Je le remercierai et buvais le miens en même temps que lui.

𝐃𝐄𝐒𝐓𝐈𝐓𝐔𝐓𝐄 | duologie (EN CORRECTION)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant