Stars_girly présente...
𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐚̂𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬
𝐭𝐫𝐚𝐜𝐞́𝐞𝐬
Grandir dans un monde où la violence règne, c'est le destin qui collait à la peau de Roam Vittor...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je suis conscient que je l'ai blessé. Mais il faut qu'elle arrête de me faire ce putain d'effet ! Celui qui te donne envie de tout brûler quand quelqu'un lui veut du mal, celui qui te ronge quand tu la vois avec un autre homme.
Parce qu'en réalité je me le suis approprié, je me suis dit qu'elle n'appartient qu'à moi, mais pas inversement, malgré ses mensonges. Son côté brisé et fragile m'a fait perdre le nord. J'ai vu dans son regard que je l'ai brisée, blessée. Parce que mon comportement contradictoire ne va pas l'aider à comprendre pourquoi je me suis énervé.
Le fait que quelqu'un ait émis une possibilité qu'elle et moi ça soit sérieux m'a fait paniquer. J'ai compris que je me suis pris dans mon propre piège.
J'attrape ma veste et mes clés de voiture. Sortant de la chambre et dévalant les escaliers. Je ne regarde pas qui est là, parce que la seule chose qui pourrait me changer les idées, ce sont les courses de la DDF. « DDF » pour Danger Driven Fire, est un des plus gros organisateurs de courses illégales à Saint-Pétersbourg. Ils ont dans leurs écuries les meilleurs coureurs. C'est comme la Formule 1, mais plus dangereux, plus intense. Le seul but, ne pas se faire chopper par les flics, sinon c'est perdu.
J'ouvre laportière, m'engouffrant dans ma porte. Avant d'arriver, je l'ai fait livrer parnos hommes sur place, un bijou.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
J'accélère sur les quatre voies, appuyant sur l'accélérateur comme si ma vie ne comptait en rien. Parce que c'est ça, la vitesse. On ne se concentre que sur la sensation de liberté.
Je prends la première sortie qui donne sur une pleine sablonneuse. Des voitures sont garées un peu partout. Je m'arrête entre elles et descends. Les froids me fait légèrement tressaillir, mais il est supportable.
Au loin, j'aperçois Midas qui me fait un signe de la main. Je le rejoins nonchalamment, lui, regarde la course qui se déroule sous nos yeux.
