𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟷𝟻

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𝐋𝐎𝐒 𝐀𝐍𝐆𝐄𝐋𝐄𝐒.
23h30.

Sous les ordres de Summer, Holt à dû m'emmener avec lui chez lui. En attendant notre départ de demain, je n'ai nul part où aller. Et je dois avouer que cette fille est un casse tête. Je suis mitigé entre la placer dans la case « elle veut m'aider à lui faire mordre la poussière » ou « elle veux absolument nous rapprocher ». Dans tout les cas, ces deux possibilités me plaises bien.

  La voiture s'arrêtait devant un grand portail noir très moderne. Le chauffeur donnait un code de chiffres à l'un des gardes et le portail s'ouvrait devant nous. Mes yeux s'écarquillèrent un peu plus quand une gigantesque maison se présentait devant moi. Les murs extérieurs étaient noirs, mise à part la façade qui enveloppait la porte d'entrée. Les bois découpé en plusieurs barres habillaient là surface. Des grandes colonnes blanche en rectangle étaient sous un balcon, un étage au dessus. Les gardes corps en verre paraissaient incassables grâce à leurs épaisseurs. D'énormes baies vitrées illuminaient chaque partie de la demeure, sur chaque mur l'une d'elles était installée. La verdure de l'endroit était plutôt simple. Principalement du gazon et quelques buissons.

  Quand la voiture s'arrêtait devant les marches du perron en pierre, les lumières aux murs et sous le toit plat s'allumèrent pour nous éclairer dans l'obscurité. Holt sortait et récupérait mes bagages dans le coffre. Je le remerciais avec un petit sourire et attrapais la poignée de ma valise.

  Mon tee-shirts blanc aux motifs de bottes de cow-boy ne me réchauffait pas beaucoup les épaules. Je grelottais dans mon coins, attendant qu'il ouvre la porte d'entrée. Je fixais cette magnifique maison. J'avais plus eu l'habitude d'être dans des manoirs anciens et grand. Alors que cette maison soit aussi grande mais luxueuse me charmais.

  Une chaleur vint réchauffer mes épaules. Je tournais légèrement ma tête sur le côté pour apercevoir la veste d'Holt sur mon dos.

  — Merci.

  — C'est normal, j'ai pas envie que tu viennes me voir en pleine nuit pour dormir dans mes bras histoire de te réchauffer ! Ricanait-il.

  — Plutôt crever.

  Il se mettait devant moi, les mains dans les poches. Maintenant en tee-shirts, je pouvais apercevoir ses avant bras tatoués. Et oui, je pouvais le confirmer : il est beaucoup plus musclé que lorsque l'on c'est quitter. Un sourire narquois au lèvre, il dit :

  — Tu as dû ressusciter une dizaine de fois alors.

  En comprenant son sous entendu, je fuyais son regard, beaucoup trop gêné. Évidemment que le simple fait qu'il me rappelle que j'étais bien dans ses bras me mettait mal à l'aise. Parce qu'encore une fois, c'était une vérité bien trop dur à voir en face ou à dire à voix haute.

  Holt avance et déverrouillait la porte d'entrée. Je lançai derrière lui :

  — La bête ne vas pas piquer une crise si elle me voit ?

  Il ricanait et me laissait entrer à mon tour. L'intérieur sentait le neuf et le luxe. Tout ici était minimaliste sans pour autant se cacher d'être très cher. Du lustre en cristal au tapis couleur crème de deux mètres par deux mètres, tout coûte une blinde ici.

  — Elle n'habite pas avec moi. Concluait-il. Mais simple question. Si, elle est la bête, alors c'est moi la belle ?

  — Non, toi tu est le trolls, c'est moi la belle. Rêve pas trop grand, c'est pas fait pour tout le monde tu sais.

  Il secouait la tête et prenait la valise avant de l'emmener à l'étage. Je le suivais de près. Holt ouvrait la porte d'une gigantesque chambre où trônait un lit King size noir. Un grand dressing se trouvait derrière une porte qui était grande ouverte. Les draps du lit étaient tirés au carré et sentaient le coton.

𝐃𝐄𝐒𝐓𝐈𝐓𝐔𝐓𝐄 | duologie (EN CORRECTION)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant