𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟷𝟸

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𝐀𝐏𝐏𝐀𝐑𝐓𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐃𝐄 𝐒𝐔𝐌𝐌𝐄𝐑.
Lendemain, 12h05.

  Holt me toisait du regard dans le coin de la pièce

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  Holt me toisait du regard dans le coin de la pièce. L'appartement de Summer est vraiment énorme. La brune dit que l'avoir trouvé a seulement six cent soixante-mille dollars est un excellent prix à Los Angeles, alors que moi je trouve ça exorbitant pour un appartement.

  — Et donc tu aimerais que je te dépose ? Demandait-elle.

  — Quoi ? Non, ne t'en fait pas ! La rassurais-je. Je vais prendre un avion et un taxi.

  Ces yeux me fixaient tendis que ça bouche s'étirait en grimace. Elle rétorquait :

  — Ont vas plutôt de prêter un jet et l'un de nous t'accompagnera !

  Elle buvait un peu de son café et Liam hochait la tête à son tour. Cornelia et Connor s'excusaient car ils avaient trop de choses à prévoir pour le mariage, donc ils ne pouvaient pas m'accompagner. Liam, lui, devait rester au réseau pour organiser la paperasserie avant de partir pour la Grèce. Manque de bol, Summer était en repérage à New York.

  Comme si le destin jouait avec moi, Holt était le dernier que je classais comme disponible. Tout les quatre se tournaient vers lui. Il recrachait la fumée de sa cigarette tout en disant :

— Et puis quoi encore. Vous espérez que je veux l'accompagner ?

— Pas à nous Baxter. Râlait Summer.

— Et j'y gagne quoi ? Demandait il, un sourire en coins.

La brune se levait et lui chuchotait la réponse à l'oreille. Son regard me scannait un instant et il acquiesçait d'un signe lent de la tête.

— Vas faire tes valises. On par dans quelques minutes. Ordonnait-il.

Je me levais et remerciait Summer pour son hospitalité. Je passais le pas de la porte et descendais les escaliers pour rejoindre la rue. Dans mon dos, la porte de l'immeuble s'ouvrait à nouveau. Je me tournais furtivement. Je levais les yeux au ciel quand la silhouette d'Holt apparue devant moi.

— Tu n'a pas l'air contente de me voir ?

— Sans blague.

Je marchait sans me préoccuper de lui. Sans trop d'effort, il me rattrapait et marchait maintenant avec moi. Je soufflais, agacé. J'étais trop blasé qu'il me suive pour lui demander ce qu'il faisait là. Je croisais les bras sous ma poitrine et accélérais le pas. À mon plus grand désespoir, il me suivait toujours, les mains les poches.

— Tu ne me demandes pas pourquoi je suis là ? Lançait il soudainement.

— Tu veux que je te dises ? J'en ai rien à foutre. Si tu veux me suivre comme un chien, libre à toi. Mais je ne te donnerai aucune caresse.

𝐃𝐄𝐒𝐓𝐈𝐓𝐔𝐓𝐄 | duologie (EN CORRECTION)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant