𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟷𝟼

17 3 0
                                    


Lendemain...

  Mes yeux sont rougis pas mes larmes

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

  Mes yeux sont rougis pas mes larmes.

  C'est la première chose que je me suit dire en me réveillant. Je n'en tenais pas rigueur et m'habillais en vitesse. En bas, Holt était assis dans le canapé de son salon, une tasse à café dans la main gauche et sont téléphone dans l'autre. Quand ses yeux tombèrent sur mes bagages, il se levait et m'aider à les porter.

  — Ça vas ?

  Cette questions n'était rien de plus qu'un piège, alors comme mon habitude j'allais répondre que oui. Tout vas bien.

  — Oui, et toi ?

  — Hmm.

  Ses sourcils se fronçaient un peu plus et son pouce vint caresser les poches gonflées sous mes yeux. Doucement, je prenais sa main dans la mienne et la fit quitter mon visage. Il me scrutait avec incompréhension. Alors pour calmer ses idées, je lui souriais doucement et m'écartais.

  — Je vais bien, Holt.

  Une assiette pleine de pancakes était posait sur l'îlot de la cuisine. J'en prenais un et me tournais doucement vers mon brun. Il pianotait sur son téléphone. Je demandais :

  — Ils arrivent bientôt ?

  — Nous y allons nous même, soufflait-il. Ils seront déjà à l'aérodrome.

  J'acquiesçais d'un signe de tête en finissant ma pâtisserie. Je me lavais les mains et attrapais ma valise et mon sac à dos. Il sourit et empoignait à son tour une valise noir. Tout le contraire de la mienne qui était blanche avec des diverses autocollants.

  — Tu est prête ? Tu n'as rien oublié ?

  — Oui. Non.

  Il emboîtait le pas et nous quittions la maison sous un magnifique levé de soleil. J'avais hâte, mais cette garce avait réussi à me terrorisé. Je la déteste tellement...

  Assise dans le jet, je parlais avec Cornelia et Summer

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

  Assise dans le jet, je parlais avec Cornelia et Summer. Les deux filles ne me parlaient que de ce qu'ont allait faire là-bas, et j'avais hâte. Elles me vendaient tellement de rêves que j'étais peut-être plus excité qu'elles. Julia est assise avec une fille que je ne connais pas, mais qui fait apparemment partie du gang. Elena me chuchote sans arrêt que Julia est la pire connasse qu'elle a jamais vu, et elle a bien raison. Depuis le début du vol, je me demande comment sera ma vie après ce voyage. Si je ne peux plus m'approcher de lui, à quoi bon ?

  Mais je ne compte pas me laisser faire, loins de là. Il faut que je le dise à Elena, mais la question c'est : quand ? Il n'y a pas un seul moment opportun depuis que je l'ai vue ce matin. Alors j'essayerais en Grèce. En attendant, j'agirais comme d'habitude. Avec le point lourd du regard de Julia sur mes épaules.

  — Vous verrez ma robe est incroyable !

  — J'ai hâte ! Dit Summer

  Elles me sortaient de mes pensées qui plongeaient un peu plus dans l'obscurité. Il était actuellement dix heures. En cinq heures, j'avais dormi dans une cabine, déjeuner avec mes amies et parler. Mais ce n'était que la moitié du trajet. Notre arrivée était prévue pour vingt-deux heures. Ça s'annonçait long, très long.

 Ça s'annonçait long, très long

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

𝐒𝐀𝐍𝐓𝐎𝐑𝐈𝐍, 𝐆𝐑𝐄̀𝐂𝐄.
22h36.

Notre Jeep s'arrêtait devant l'immense villa d'Holt. Elle était typique de l'endroit. Les murs blancs étaient un peu rugueux et les fenêtres d'une simplicité exemplaires. La grande porte en bois au haut arrondie nous faisait face. L'immense jardin qui l'entourait était tropical et des palmiers entouraient de domaine. Quand je posais un pied dans la maison, ma mâchoire manquait de tomber au sol. Tout était en bois ou osier. Le blanc et les plantes vertes apportaient un réconfort à la pièce. Deux énormes baies vitrées étaient grandes ouvertes sur le salon et exhibaient la piscine à débordement. Des transats et hamacs étaient placés un peu partout. De grosses bouées flamants roses voguaient sur l'eau translucide.

La télévision du salon était gigantesque et le canapé à la douceur extrêmement l'était tout autant. Quelques murs étaient simplement blancs, notamment dans le couloir qui menait aux chambres. Je comprenais pour Holt voulait les habiller. Les yeux pétillants de Cornelia en disaient long sur se qu'elle pensait. Elena se précipitait dans une chambre avec Summer à ses trousses pour l'empêché de prendre la meilleure. Je ricanais face à leurs idioties.

Connor et Holt rejoignais avec Liam la cuisine pour se servir dans le bar à vint. Ce qui ne m'étonnait pas. Je touchais l'épaule de Cornelia pour la faire revenir parmi nous.

— Ont vas dehors ?

Elle hochait la tête et nous sortions. Des spots au sol éclairaient la villa dans l'obscurité. La chaleur était frappante mais aussi agréable qu'à L.A. Julia se mettait à côté de nous et crachait :

— Mouais.

Dieu seul sait à quelle point je mourrais d'envie de l'étrangler ou de la noyer dans cette piscine. Mais je me retenais, il est hors de question que je gâche la semaine de Cornelia.

— Ça vas être génial, tu verras. Soufflais-je, le sourire aux lèvres.

— Je n'en doute pas ! S'extasiait-elle devant la vue époustouflante que nous offrait l'endroit.

De là, nous pouvions voir toutes les maisons aux toits bleus qui regorgeaient l'immense creuse, jusqu'à s'arrêter à la plage. L'océan scintillait légèrement au reflet de la lune. Là, j'avais un petit coins de paix.

𝐃𝐄𝐒𝐓𝐈𝐓𝐔𝐓𝐄 | duologie (EN CORRECTION)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant