Stars_girly présente...
𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐚̂𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬
𝐭𝐫𝐚𝐜𝐞́𝐞𝐬
Grandir dans un monde où la violence règne, c'est le destin qui collait à la peau de Roam Vittor...
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Il faut croire que mon envie de le buté est encore plus fleurissante de jour en jour. D'abord il m'envoie deux espionnes. Ensuite il me menace, kidnappe une personne qui m'est cher et ensuite pour couronner le tout, il s'en prend à mon frère d'armes en attaquant l'entrepôt de Troy. Je vais démolir cet homme.
Dans la nuit il a mis feu au lieu et a tué quatre hommes. C'est un avertissement, je le sais pertinemment. Mais rien ne m'empêchera de le démolir si je le souhaite.
Alexio rassemble tous les membres du grand conseil. C'est à dire les sous-chefs de chaque franchise de notre gang. Nous avons étendu notre réseau partout dans le monde, alors un dirigeant est à la tête de chacune de ces organisations. Mais mon père est tout de même au-dessus d'eux.
Parmi ces hommes et quelques femmes, se trouvent les meilleurs meurtriers du monde. Si nous les rassemblons pour attaquer les Destitute Angel, nous avons toutes nos chances de gagner cette bataille.
Je tourne autour de l'entrepôt, maintenant en cendres. Interrogé par Connor ;
— Mais pourquoi cet entrepôt en particulier ?
— Parce qu'il est le seul qui bénéficie de moins d'une dizaine de gardes et en conséquent d'une protection presque inexistante. Ce qui m'intrigue, c'est qu'aucune voiture, appart les nôtres, passent ici. Et que l'endroit ne comporte qu'un vaste désert. Pourquoi il attaquerait ici et pas dans une autre base.
Mon ami me fixe un instant. Sans que je comprenne ce qui m'arrive, il me plaque violemment et sol en hurlant.
— BOMBE, À TERRE !!!
Tous se jettent sur le béton et dans le sable. L'une des voitures qui a été miraculeusement épargnée par l'incendie explose. Mes oreilles sifflent légèrement et je peine à me relever. Connor fixe le ciel, allongé sur le dos, à bout de souffle.
— Comment tu as su ? dis-je difficilement.
— Le tintement du chronomètre me mettait la puce à l'oreille depuis déjà quelques minutes. Mais quand les cinq dernières secondes ont sonné différemment, c'était louche. Ce n'est que lorsque que tu m'as dit que personne d'autre que nous était par ici, que ça m'a paru logique. S'ils ont mis une bombe ici, c'est pour que les seules personnes qu'ils voulaient tuer n'entraîne pas d'autre morts innocentes. Nous étions les cibles de cette explosion.
Il se relève et fixe l'horizon, pensif.
— Je crois qu'ils n'ont pas apprécié que tu récupères leur poupée.
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