𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟷𝟶

20 2 0
                                    


  Je retournais avec les filles dans le carré VIP. Leurs yeux ronds me fixaient avec un tas de questionnement. Je soufflais en tombant sur la banquette. Cornelia me touchait le front, inquiète.

— Tu ne te sens pas bien ?

— Si, sauf si votre pote est une maladie ambulante.

— Qui ça ? Demandait Summer.

— Holt putain de Baxter.

Je leur racontais tout depuis le début et elle étaient tout aussi bouche bée que moi. Summer avait malgré tout, l'air fière d'elle. Même si je lui en voulais d'avoir mis Hugo dans une situation inconfortable, ça prouvait que mon plan avait marché. Il était jaloux, m'a expliquée Summer. Et c'était inscrit sur son visage comme le nez au milieu de la figure.

Holt Baxter était jaloux...

Quelques minutes plus tard

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Quelques minutes plus tard...

  La menton entre les doigts de Summer, je luttais pour ne pas rire. Mais dans une dernières grimace la brune vint à bout. Je riait au éclats alors qu'elle secouait le petit verre de tequilas devant mes yeux. Je lui prenais ses mains et le buvait d'une traite. La sensation de brûlure m'avait complètement anesthésié la gorge au fil des verres.

  — À moi ! Quémandait Cornelia.

Je prenais son menton entre mon pouce et mon index. Alors que nous allions commencer, des voix nous interrompaient. Je soufflais d'agacement et me tournais vers les intéressés. Cornelia s'empressait de tourner son écharpe pour que son futur mari ne voit pas ce qui y était écrit.

— Qu'est-ce que vous voulez. Soufflait Summer.

— Ont se fait franchement chier et vous vous avez l'air de vous amuser, laissez nous une place ! Se plaignait le garçon qui était avec Connor et Holt.

— Non mais vous rigolez ! C'est un enterrement séparément ! Râlait Summer.

Cornelia pouffait, répriment un rire avant de proposer :

— Il peuvent rester, ça ne me dérange pas.

Summer écarquillait les yeux, ahuris. Le garde du corps soulevait la barrière aux garçons qui ne pipaient mots. Ils ressemblaient à des enfant aillants fait une bêtise. Le regard lourd de sens, Holt fixait la place libre à côté de moi. Je mettais mon sac dessus, mais ça ne l'empêchait pas de le prendre et de le poser sur le poser sur mes genoux.

Je me fusillais du regard. Connor pris place à côté de sa future femme et le brun dont j'ignore le nom à côté de Summer, à ma droite. Le fiancé chuchotait quelques chose à l'oreille de Cornelia qui l'a fit gloussait de rire. Ils sont vraiment beaux ensemble...

Summer attrapait la bouteille de Tequila et des verres que nous n'avions pas utilisés. Elle commençait :

— Un j'ai jamais pu j'ai déjà, ça vous dit ?

Ils acquiesçaient tous alors que je demandais en quoi consistait le jeu.

— C'est simple, tu as déjà fait l'action proposer, tu boit. Tu ne l'a jamais fait, tu ne boit pas ! Il est interdit de mentir.

J'acquiesçais dans un hochement de tête et elle commençait à nous servir tour à tour. Je prenais le miens mes doigts et croisais mes jambes. Ma peau se réchauffait quand celle d'Holt entrait en contact avec elle.

— Je commence ! Dit Cornelia. J'ai déjà...voyager dans le monde !

— Pimente la question Co' ! Râlait Summer.

— JE décide !

Nous buvions tous. Vint au tour de la brune. Un sourire au coins des lèvres, elle fixait Holt, à côté de moi.

— J'ai déjà regretté l'absence de quelqu'un.

Tout en le fixant, elle bue sont verre, ainsi que Connor et...Holt. Je buvais aussi après eux.

— Liam à ton tour !

Le garçon s'appelait donc Liam. Il réfléchit un instant avant de déclarer :

— J'ai déjà, fantasmer sur une personne du groupe !

Sa aveu me fit écarquiller les yeux. Il but comme si de rien n'était tout en jetant un regard charmeur à Summer. Elle le regardait, dégoûtait. Puis, ma surprise fut plus grande quand je vis du coin de l'œil le brun à ma gauche boire. Holt venait de boire. Je n'avais jamais fantasmé sur lui, mais ses lèvres me manquait horriblement quand elles étaient loins de moi. Tout son corps me manquait et son âme.

Summer me jetait un regard complice. Je dit à mon tour :

— J'ai déjà...couché avec quelqu'un du gang.

Je ne bue pas, ainsi que Connor et Cornelia. Mais les trois autres pris cul leurs verres sans un mot. Holt se raclait la gorge avant de déclarer :

— Est si ont joué à autre chose, hein ?

— Oui ! Appuyait Summer.

— Et si ont faisait une action ou vérité ? Proposait Liam.

— Pourquoi pas !

— Summer, tu commences ! Lançait Cornelia.

— Si vous voulez...Hum, Holt.

— Oui ?

— Action ou vérité ?

Mon regard ne quittait pas le siens une seule seconde. Il croisait ses bras sur son torse et appuyait son dos sur la banquette. Il murmurait à la brune.

— Action.

— J'ai le droit de marquer se que je veux au dos de ton tee-shirts !

— Quoi ? Mais non ! Se renfrognait-il.

— Tu n'a pas le choix.

Elle affichait un sourire victorieux sur ses lèvres charnues. Une serveuse venait jusqu'à nous quand Summer mis sa main en l'aire.

— Je peux vous emprunter votre feutre blanc s'il vous plaît ?

— Oui, tenez.

La jolie blonde lui tandis un feutre de couleur blanc fluorescent. Dont elle devait ce servir pour écrire sur les ardoises noires du bar. Summer le pris entre ses doigts et forçait Holt à se mettre debout, dos à elle. Ce qu'il fit.

Elle commençait à marquer un mot en énorme sur la longueur de ses omoplates. Il ne faisait que répétait qu'elle devrait lui repayer son tee-shirts, ce qui fit rire Liam et Connor.

Mes yeux s'écarquillaient soudainement. Il était marqué en gigantesque « ROAM » avec un numéro un en dessous. Il l'a questionné sur ce qu'il y avait d'écrit, mais personne ne répondait. Tous, étaient morts de rire. Et j'avoue avoir pouffé dans ma barbe. Summer me lançait un clin d'œil discret.

— Nous ont ne te dira rien ! Vas demander aux gens mon p'tit !

Il soufflait, agacé. Mais il capitulait et allait demander à un groupe de jeune femmes ce que Summer avait écrit. Quand l'une d'elles lui répondit son regard noir s'abattît sur sa meilleure amie.

— JE VAIS TE TUER SUMMER PUTAIN DE BALZONARO !! Fulminait-il.

Elle éclatait de rire tendis revenait à sa place. Il ne parlait pas et pris son verre dans ses mains. Ils continuaient leurs parties, à laquelle j'étais spectatrice. Leurs petits querelles m'avaient manqués. Je réalisais à quelle point ma vie était devenue ennuyante sans eux...Ils m'apportaient tellement de bien être et de joie quand ils étaient dans les parages.

Et quand son petit rire me parvins enfin, là et seulement là, j'avais l'impression d'être pour de vrai chez moi. Parce qu'en réalité une maison c'est ça. Être entouré des gens qu'on aimes et qui nous rendent heureux. Notre famille.

𝐃𝐄𝐒𝐓𝐈𝐓𝐔𝐓𝐄 | duologie (EN CORRECTION)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant