Chapitre 15

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— *sourire* Très bien !

Astou se lève et le rejoint sur son siège en se mettant sur lui.
Elle se mit à faire des vas et vient sur lui en se frottant contre lui et il sourit en se mordant les lèvres.

Elle lui caresse la joue avec l'une de ses mains et utilise l'autre pour appuyer sur le bouton qui déverrouillent les portes.
Elle ouvre la portière de suite et sort en tombant sur le sable.

L'homme réussit à lui attraper son pieds avant qu'elle ne parvienne à se lever.
Il l'attire vers lui et elle lui donne un coup de pied dans sa geule.
Il lâcha prise et elle se dépêcha à se lever pour courir.

Le gars descend et se met à sa poursuite.

Elle courait un marathon sans voir personne sur son passage.
Elle ne pouvait savoir où il l'a amené ainsi.
Cette ruelle si sombre dénudé de lumière.

La fatigue commençait à avoir raison d'elle mais elle ne pouvait s'arrêter. Sa vitesse diminua donc et l'homme arrivait à la rattraper.
Elle se donna une nouvelle force et se mit à courir en voyant deux lampes au loin qui ressemblait à ceux d'une voiture.

Elle nourrissait de l'espoir de pouvoir tomber sur quelqu'un mais malheureusement l'homme la rattrape et la tire par le biais de son bras.

Elle se mit à se débattre pour qu'il la relâche mais il lui donne une gifle.
Elle n'eut pas le temps de réagir qu'il l'enchaîne avec une autre.
Il le poussa et elle fut accueillie par le sable.

Il se jeta sur lui en lui faisant des morsures dans le but de la violer mais elle ne cessait de se débattre en griffant ses mains de ses longues ongles.
Il lui déchira le bras de son t-shirt et elle empoigne du sable avant de lui jeter au visage.

Elle se relève avec beaucoup de difficulté alors que l'autre se grattait les yeux en l'insultant de tous les noms.

Elle court sans regarder où elle va avant d'heurter un torse dur.
Elle s'éloigna prise de peur.

« Ils sont donc deux ! » Se disait-elle ne voyant pas son visage sous ce noir absolu.

Les lampes de voiture qu'elle avait vu s'allument à nouveau derrière l'homme et elle se rendu compte qu'il s'agissait de Ibrahim.
Lamine sort de la voiture et Ali était au volant.

Comme si elle le revoyait après des années, elle couru se réfugier contre son torse et Ibrahim le serra dans ses bras.
Inévitablement, un frisson les parcourt.

— Ne t'inquiète plus j'suis là !

— Sauve moi s'il te plaît ! Dit-elle pétrifiée en le serrant davantage comme si elle se sentait rassurée dans ses bras.

L'homme voulu fuir en les voyant mais Lamine l'attrape.
Il lui donne un coup sur la mâchoire et ce dernier riposte en lui donnant un coup au nez et son nez se mit à saigner.

Ibrahim se détacha de Astou pour aller aider son frère.

Il le prit par le bien de son décolleté et lui donne un coup au ventre.
L'homme se recroqueville sur lui même et Lamine lui donne un coup de pieds qui l'envoie à terre.

Ils le tabassaient en lui donnant des coups de pieds de tout les côtés et Astou vient les aider.

Elle libérait toute la douleur qu'il lui avait infligé en le tabassant avec son pieds.

Ibrahim appela la police et Lamine s'arrêta.
Astou lui crache en plein visage.

— Sale violeur !

Lamine la tira avec son bras.

— Comment as-tu osé t'enfuir ainsi. T'as rien vu avec cet homme mais moi je vais te montrer le déroulement d'un vrai viol.

Le Devoir au prix de l'AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant