Chapitre 33

431 48 6
                                    



Pardon Population ! J'avais oublié votre chapitre de Jeudi.











Flashback...........








Dans sa chambre avec Zahra, Aissatou essayait de l'épauler et de compatir sa douleur.

— Tu as vécu la chose la plus horrible qu'une femme puisse vivre. Viol est une chose dont on ne souhaite même pas à son ennemi. Il te faudra du courage ma chérie pour surpasser cette mauvaise phase de ta vie. Mais sache que je suis là, à tes côtés, et je ne te laisserai jamais te sentir seul. À chaque fois que tu sens que ça ne vas pas, viens vers moi. Ne suis-je pas ta mère ?!

— Bien sûr !

— Donc voilà ! N'aies crainte de venir me voir. D'accord !

— D'accord maman !

On toque à la porte.

Aissatou : Oui !

La porte s'ouvre sur Fatim qui entre timidement dans la chambre. Le visage de Aissatou s'adoucit de suite, à la vue de ses charmants yeux.

— Viens ma fille approche.

Elle les rejoint et se met debout devant eux.
Aissatou était assise sur le lit et Zeyna sur un petit fauteuil en face du lit.

— Mets toi là *en tapotant le lit* à mes côtés.

— *yeux baissés* Lallou mak keine doussi tok yaye. ( Personne ne doit s'asseoir sur le lit d'une grande dame maman.)

— Mais tu as déjà dormi sur ce lit.

— C'est pas pareil !

— Qu'est-ce qui est différent Fatim ?! Viens là ou je risque de me fâcher.

Elle exécute et se mit à ses côtés alors que Aissatou entoure son bras autour de sa taille.

— Ma fille chérie j'aime te savoir proche de moi.

Fatim sourit timidement.

— Zahra ma fille !

— Oui !

— J'aimerais que vous deveniez des amies. Soyez assez proches pour vous dire vos problèmes. Devenez de meilleures amies et tenez vous compagnie l'un de l'autre. Cette amitié plairait à tout le monde. *à Fatim* Quoi de mieux pour Ali que de voir sa femme et sa soeur être inséparable.

Zahra : Tu as raison ma tante.

— Ça me ferais trop plaisir en tout cas de voir mes deux belles filles chérie très proches.

Fatim : Comme vous voudrez maman !

— Bien ! Dit-elle en se levant. Demain soir je suis invitée à une importante cérémonie. Et comme invitée d'honneur j'aimerai bien sûr être très présentable. Je voulais donc votre avis pour ce que je vais porter.

Zahra : *sourire* Ioe lo soll mou diapp la yaye. ( Tout ce que tu portes t'ira bien maman.)

Fatim : *sourire* J'suis d'accord !

Ensemble, elles choisissent une magnifique robe pour l'occasion dans l'entente et la bonne humeur.
Il fût de même pour les chaussures et la pochette. Viens maintenant la question du bijou.

Aissatou ouvrit son coffre à bijoux et commença à montrer ces différents colliers pour qu'elles choisissent.

Zahra : Regarde celui-ci Fatim ! Dit-elle en attirant son attention sur un collier en particulier dans la boîte à bijou.

Le Devoir au prix de l'AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant