Kakashi X Hina Byakuren

Chapitre 35

Un grand merci j'ai atteint les 2k lectures 🎉

PDV Hina

Nous étions tous réunis sur le toit de la tour du Hokage, habillés en noir, sans un sourire.
En face de nous se tenais les photos des ninjas mort au combats, mais aussi du Hokage troisième du nom.
Malheureusement péri au combat contre l'attaque surprise d'Orochimaru pendant l'épreuve final de l'examen de sélection de Chunins. Nous pleurions tous sa perte.

Comme si le ciel sentait notre tristesse et notre peine, il commença a pleuvoir.
Je tourna mon regard dans tous les sens, j'aperçus Konohamaru en train de pleurer la perte de son grand-père.
Je cherchais une personne en particulier.

Où est-il ?

Je déposa ma fleure près de la photo du Hokage avant de partir à sa recherche.

Je marchais dans les rues de Konoha le regard baisser. Après 20 bonnes minutes de recherches,  j'arrivais au terrain d'entraînement. Je vis au loin une chevelure que je connaissais bien.
Il se tenais devant la stèle où était graver le noms des ninjas qui avait donner leur vie pour le village.
Il avait laisser sa veste de Jonins, pour être  habiller complètement en noir, la couleur du deuil, sont bandeau cachant toujours son œil gauche.

Je me plaça derrière lui.

-Hina ? Les funérailles du troisième Hokage on commencer dépêche toi, me dit-il d'une voix morne et triste.

-J'y suis aller, si je suis là c'est parce que je vous cherchez.

Je regarda la stèle, puis mon sensei qui était dos à moi.

-Je pense avoir enfin trouvé la raison de vos retards, dis-je mélancolique.

Il se retourna vers moi avec un regard comme je ne lui avais jamais vu. Il y avait de la tristesse, du vide, du manque.

Puis après que nos regards ne ce soit pas détachés pendant ce qui me paraissais une éternité, il me pris dans ses bras.
Au début cela me surpris, mais je me détendis et serra mes mains dans son dos.

Aucun de nous deux ne parlais, on entendais rien que la pluie et les oiseux qui se cacher dans les arbres.

J'avais ma tête poser sur son torse, je pouvais sentir son coeur battre contre mes oreilles. Ces cheveux caressant mon cou, ce qui me donna des frissons.

Tout à coup je sentis une présence alors je repoussa rapidement  mon sensei. Il me regarda interloqué, jusqu'à qu'ont entendent une voix derrière nous.