34 | Quand la haine et la douleur se rencontrent

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟑𝟒
𝑸𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒍𝒂 𝒉𝒂𝒊𝒏𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒂
𝒅𝒐𝒖𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒔𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆𝒏𝒕



Pedro


— Fabio ! Réunion dans mon bureau avec le plus de nos hommes possible, maintenant ! hurlais-je dans le couloir en passant à côté de lui.

Je peux sentir son regard derrière mon dos, je me dirige avec rage dans mon bureau et m'assied sur le canapé en forme de U, attendant que mes hommes arrivent. Je désserre ma cravate d'une main lasse et me serre un verre de whisky.

La porte de mon bureau s'ouvre sur Fabio et quelque-uns de mes hommes. Tous s'approchent de moi, certains s'assied d'autre restent debout.

Fabio s'assied en face de moi et passe une main dans ses cheveux détaché.

— On est là Pedro.

— Ça en est où avec ces serbes et Tremaine ? demandais-je avec rage.

— Eh bien... il racle sa gorge, rien d'alarmant en ce qui concernent les serbes. Ils sont toujours suivit de près, et aucune nouvelle de Tremaine.

— Ramenez-les moi ici, vivant. J'ai besoin de me défouler.

Fabio fronce les sourcils en me regardant.

— Mais... En faisant ça on risque de perdre la trace de Tremaine.

Je ris froidement et sort mon téléphone.

— Ce petit fils de pute finira bien par sortir de sa cachette car monsieur s'amuse à me provoquer ! Regarde !

Je lance mon téléphone sur la table, Fabio me regarde bizzarement avant de prendre mon téléphone et de lire le dernier message que l'autre trou du cul m'a envoyé pendant le gala des Chapman.

— Quel provocateur.

— On a assez jouer et tourner autour du peau, et surtout on a assez patienté. Capturer ses serbes, ramenez-les ici, on va les torturer jusqu'à ce qu'ils crachent le morceau sur Tremaine. 

Fabio soupire et ordonne à nos hommes en espagnol de faire le nécessaire pour rappâtriez Ivor et Arkan, ici à New York. Tous s'activent nous laissant seul Fabio et moi.

Je bois d'une traite mon verre de whisky et dépose mon verre sur la table, le regard dure et les nerfs tendus.

— Tu es sûre que c'est une bonne idée Pedro ?

— Plus que sûre. Pourquoi ?!

— Si tu veux mon avis, je ne pense pas que ce ne soit une bonne idée. On pourrait perdre le trace de Tremaine et-

— Tremaine va ré-apparaître, en les capturant il va se sentir en danger.

— Et ça va le faire fuir.

— Non, tu vois pas comme il adore me provoquer ? je ris froidement, je te l'ai dis Fabio, il adore jouer à cache-cache, c'est son jeu préfeferé. Sauf que là, dès lors que je l'aurais trouvé, je le tue. 

Je prend la bouteille de whisky et me serre un bon verre, remplie jusqu'au bord et boit quelques gorgé sous le regard inquiet de Fabio. 

— C'est Sheryl qui te met dans cet état-là ?

Sous l'emprise de Pedro MendozaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant