15 | Doux réveil

2.3K 141 420
                                    




𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟓
𝑫𝒐𝒖𝒙 𝒓𝒆́𝒗𝒆𝒊𝒍




Pedro

Cela fait bientôt une demi-heure que je suis réveillé, tenant Sheryl dans mes bras. Son cul est posé contre ma queue, et je me fais violence pour calmer mes pulsions. La situation n'est pas facilitée par sa tenue.

Elle porte encore l'une de ses fameuses nuisettes en satin, méga courte, qui lui arrive aux cuisses. Les bretelles sont fines, et la couleur rose pâle contraste joliment avec sa peau. Ma main s'est glissée sous sa nuisette, contre son ventre. Elle n'a pas réagi, et j'ai même l'impression qu'elle a soupiré d'aise dans son sommeil.

Je respire profondément, essayant de me concentrer sur autre chose. Mais la chaleur de son corps, sa respiration régulière et le contact de sa peau contre la mienne rendent la tâche difficile.

Mais peu importe, j'aime dormir avec elle. Sa compagnie de ne me dérange pas, bien au contraire. La chaleur de son corps la nuit m'apaise.

C'est comme si elle a été faites pour moi, son corps se fond parfaitement dans la mien, elle est très réceptive à mon toucher et à mes caresses, son corps réagit instantanément.

Elle bouge légèrement, et elle change de position, elle se retourne et je rencontre son regard de biche, je passe ma main derrière son dos et l'a ramène un peu plus contre moi.

— Bonjour, murmurai-je en caressant doucement son dos.

Elle me regarde, encore à moitié endormie, mais avec un petit sourire.

— Bonjour, Pedro, répond-elle doucement.

Je descends ma main le long de son dos, savourant le contact de sa peau douce sous mes doigts. Elle frissonne légèrement, ce qui me fait sourire.

— Je ne t'ai pas entendu arriver cette nuit... murmure-t-elle.

— Tu dormais si profondément, je ne voulais pas te réveiller.

Elle baisse les yeux sur mon torse et semble perdu dans ses pensées. Je fais des cercles au avec mon pouce au milieu de son dos.

— Combien de temps es-tu resté à ta soirée poker ?

— Jusqu'à la fin de la soirée, je suis revenue vers cinq heure du matin.

Je n'ai pas beaucoup dormit cette nuit, comme toutes les nuits d'ailleurs. Je dors très peu, je n'ai dormi que quatre heure des temps.

J'ai l'habitude.

— Oh...

Elle fait la moue et sa bouche se déforme d'une moue boudeuse, je descend ma main sans jamais toucher ses fesses.

— Tu penses à Bianca ?

Elle lève son regard vers moi et secoue la tête.

Je souris légèrement, quelle menteuse.

— Sheryl, dis-je doucement, je te connais pour savoir quand tu mens.

Elle détourne les yeux, mordillant sa lèvre inférieure. Je l'attire un peu plus contre moi, ma main continuant ses caresses apaisantes.

— Tu as besoin d'être encore rassuré ? Tu veux que je te dise le fond de mes pensées que j'ai pour toi ? dis-je en plongeant ma tête dans son cou.

Je parsème sa peau de doux ' l kil baisers, sentant son corps frémir sous mes lèvres. Son cou, l'une des zones les plus sensibles de son corps, réagit à chaque caresse. Elle pose sa main sur mon épaule et soupire d'extase.

Sous l'emprise de Pedro MendozaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant