40 | Parlons d'amour

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟒𝟎
𝑷𝒂𝒓𝒍𝒐𝒏𝒔 𝒅'𝒂𝒎𝒐𝒖𝒓








Dans l'après-midi, Fabio, Kali et Princess sont partit au centre-ville de New York pour aller boire un verre dans un bistrot. Pedro a préferé bossé dans son bureau et moi j'ai décidé d'aider Judith avec les enfants, Leeroy et Kayla.

Ses enfants étaient plus qu'adorable, Leeroy parle espagnol et français (anglais). Il est très intelligent, et à quatre ans seulement.

Kayla était une vraie petite démone pour son âge, elle a retourné toute la salle de jeu à elle toute seule, avec Judith nous étions désamparé par cette petite.

Et puis au moment où je vous parle, la petite s'est encore amusé à jouer à cache-cache.





Pedro

Je sors des toilettes et me dirige dans mon bureau pour faire de l'avance dans ma paperasse.

Je m'arrête net en entrant dans mon bureau. Ma chaise bouge toute seule. Je fronce les sourcils, surpris. Un rapide coup d'œil autour de la pièce me confirme que personne n'est censé être ici. Pourtant, la chaise continue de bouger doucement, comme si quelqu'un s'amusait à la faire tourner.

— Kayla... murmurai-je en devinant immédiatement la petite coupable.

Je m'avance discrètement, et en me penchant légèrement, je vois une petite paire de pieds dépasser du bas de la chaise. Un léger sourire me traverse, malgré moi. Cette petite est infernale.

— Kayla, tu te caches encore ?

Les pieds disparaissent aussitôt sous la chaise, suivis d'un petit rire étouffé. Je secoue la tête, mi-agacé, mi-amusé.

Je fais le tour et l'a trouve recroquevillé sur ma chaise de bureau, tel une petite boule de poile. Lorsqu'elle me voit, elle pose un index contre ses lèvres et chuchote un : shhht.

— Il n'y a pas de chut petite humaine, j'ai du travail à faire.

Avec douceur je l'a prend dans mes bras et elle glousse dans mes bras et je sors du bureau l'a tenant contre moi.

— Caca !

Je l'a regarde et fronce les sourcils.

—  Tu as deux ans et tu portes encore des couches ?

— Caca ! elle ricane.

Je l'a soulève et ramène ses fesses contre mon visages et une odeur désagréable me frappe instantanément le visage, et je la tiens à bout de bras, mon visage se crispant sous l'effet.

— Kayla ! dis-je, la voix pleine d'une exaspération que je ne peux plus contenir. C'est pas possible...

Elle éclate de rire, fière de son petit tour, ses yeux pétillant d'espièglerie. Je soupire en secouant la tête. À deux ans, cette petite sait déjà trop bien comment tester les limites.

— On va trouver Judith, je n'ai jamais changé une couche de ma vie.

— Caca ! Caca ! Caca ! dit-elle en tapant des mains.

— Je pense l'avoir compris petite chose.

— Caca !

Je soupire irrité et je la tiens à bout de bras, essayant d'ignorer l'odeur tout en me dirigeant vers la salle de jeu, l'air légèrement irrité. Elle continue de répéter "caca" en tapant des mains, visiblement très fière de son effet.

Sous l'emprise de Pedro MendozaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant