Fanfiction de code lyoko

Tome 3-Chapitre 11 :

Hello les gens ! Merci pour les 5,3K de vues cela me fait super plaisir. Merci à lele0321, AegYs_Luctom60, casidylove et EnnuiSoudain d'avoir commenté le chapitre précédent. Merci à casidylove, EnnuiSoudain, melaineperron, Wilterly et LilyWhitlock1 d'avoir voté. Bon... Oui je n'ai pas pue poster pendant de la semaine. J'ai eu quelques contrôles et le conseille de classe approche. Donc voilà ! Merci pour tous ses vues et de me suivre.

Bonne lecture !

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Point de Vue omniscient :

Ils ricanaient ensemble, devant l'écran de l'ordinateur. Fier de leur plan qu'ils organisaient et peaufinaient petit à petit. Cela faisait plusieurs jours, voire plusieurs semaines qu'ils y travaillaient tous les jours, quatre semaines sur quatre, sept jours sur sept et pratiquement toute la journée. Une feuille blanche avec des écriteaux dépassait de l'imprimante. La femme plia la page trois fois, et découpa quelques lettres d'un journal pour les coller sur le dessus. Puis, elle prit une enveloppe et la ferma dedans. Les deux personnes sortirent de leur pièce et traversèrent de longs couloirs larges.

— Vous voulez que je la poste ?

— On va le faire nous-même.

Ils laissèrent tomber la lettre ensemble dans la grosse boîte aux lettres jaune. Ils sauront sûrement que ce sont eux. Mais ils s'en fichaient, c'était le but.

Quelques jours s'étaient passés, et c'était le grand jour pour Anita. Aelita l'avait eu par téléphone, et la plus jeune était à la limite de la crise de panique. Elle avait peur de devoir parler à son père.

— Bon, je vais chez mes parents, Anita est censée me rejoindre là-bas, déclara Anita.

— Es-tu sûre qu'elle va venir ? demanda Odd.

— Oui, elle ne nous aurait pas posé un lapin, ma mère a déjà prévenu mon père, déclara la jeune fille aux cheveux roses.

Aelita embrassa Odd et sortit d'un réfectoire. Le groupe avait réfléchi à un plan pour Ulrich. Ils le perfectionnaient encore, mais tous les membres impliqués le connaissaient. Seul Ulrich ne le savait pas. Ulrich et Yumi restaient un peu à l'écart d'un groupe. Ils passaient beaucoup de temps ensemble. Ulrich profitait une dernière fois de ses amis. Aelita avait aussi planifié ses rendez-vous pour aider Nicolas. Odd n'était pas vraiment ravie qu'elle aille le voir en dehors des cours, mais Aelita lui avait fait comprendre que c'était vraiment juste pour le travail. Aelita attendit Anita un moment devant l'ermitage. La jeune fille finit par arriver.

— Ça va ? demanda Aelita.

— Non, absolument pas.

La jeune fille posa une main compréhensive sur l'épaule de sa petite sœur. Elle arrivait à comprendre la peur et l'appréhension d'Anita. Leur père était étrange, mystérieux et imprévisible. Pire... Indéchiffrable. Les deux jeunes filles sonnèrent, se fut Anthéa qui les ouvrit. Après les avoir embrassés, elle s'assura qu'Anita était prête. Elles rentrèrent et attendirent qu'Anthéa ait refermé la porte pour apparaître dans le salon. Franz Hopper était encore avec ses papiers. Il ne les remarqua même pas.

— Franz ! appela Anthéa.

Il releva enfin la tête de ses papiers.

— Bonjour papa, salua Aelita.

Anita resta muette. Intimidée, elle n'arrivait pas à parler et restait figer. Elle n'avait rien prononcé.

— Anita aimerait te parler de quelques choses, annonça Anthéa.

Frane haussa les sourcils.

— Aller, déballe tout, lui glissa Aelita à l'oreille.

Anita prit une grande inspiration. Elle redoutait la réaction de son père et par-dessus tous ses réponses qu'elle avait pourtant tant envie.

— Je... J'ai l'impression que vous m'ignorez et que vous ne me concéderez pas comme votre fille. Comme si je n'existais pas. Et j'ai besoin de comprendre. Beaucoup de choses, pourquoi m'avoir gardée pour m'abandonner après. Pourquoi tous. Mon histoire quoi.

Anita était ni soulagée, ni satisfaite. Mais elle se sentait quand même mieux. Franz soupira.

— Je ne peux pas tous te dire, mais si je dois vraiment te le dire, nous devons être seuls.

Franz avait des choses à cacher, c'était sûr.

— Eh bien avec maman nous allons partir, déclara Aelita.

Elles sortirent du salon et restèrent dans le hall. Anita, elle, s'assit sur le fauteuil le plus loin du canapé. Elle voulait éviter d'être proche de son père.

— Bien, que veux-tu savoir ?

— Pourquoi m'avoir gardée, les détails.

— Je ne peux pas te dire tous les détails. Quand elle a su qu'elle était enceinte, Christina voulait le garder. Elle n'avait pas d'enfant et même si elle n'est pas forte dans les domaines d'aimer et d'élever, elle voulait une descendance. Alors elle l'a gardé et a fait croire que c'était Damien le père.

— Pourquoi m'abandonner ?

— Christina était épuisée, elle n'en pouvait plus elle ne se voyait pas se fatiguer autant et de délaisser ses projets pour un enfant. Quant à moi, je ne pouvais pas t'accueillir, cela aurait détruire toute la famille. Même en faisant croire que tu étais la fille de Christina et Damien. Déjà parce que cela aurait semblé étrange, et aussi parce que tu me ressembles beaucoup.

— Et est-ce que vous me considérez comme votre fille ?

— Bien sûr.

— Alors pourquoi être aussi distant ?

— Je ne savais pas comment m'y prendre.

Leur discussion fut interrompue par un cri d'Anthéa provenant de l'entrée. Le père et sa fille sursautèrent et débarquèrent en trombe dans le hall.

— Qu'est-ce qu'il se passe ? demanda Franz.

Anthéa déposa un papier sorti d'une enveloppe à Aelita avant d'enlacer son mari. Aelita resta figé.

— Aelita, qu'est-ce qui est écrit ?

Aelita hésita un moment.

— Vous devriez prendre garde à votre bonheur, car tôt ou tard il finira par s'envoler.

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Voilà ! J'espère que ce chapitre vous auras plu. N'hésitez pas à laisser un commentaire et à voter.

Et à la prochaine !