Fanfiction de code lyoko

Tome 3-Chapitre 20 :

Hello les gens ! J'espère que vous allez bien. Merci pour les 6,5K de vues. C'est monter drôlement vite. Avez-vous passé une bonne semaine ? Moi oui, même si j'ai eu un petit coup de mou vendredi ( pourtant ce jour-là on m'a dit de fois que j'étais joyeuse, chercher l'erreur ! ). J'ai réussi à tout faire, yes ! Y compris la dissertation à temps pour mes potes, ils m'ont traité de malade pour tout ce que j'avais écrit. Me revoilà avec un ordi mais une connexion internet pourris, really. Merci à EnnuiSoudain, lele0321 et AegYs_Luctom60 d'avoir commenté le chapitre précédent. Meci à yelsine d'avoir ajouté la fanfiction sur sa liste de lecture et merci pour tous ses votes !

Comme je vous l'ai dit, la connexion était pourrie et en plus de cela l'ordi n'était pas encore tout à fait au point ( ordi créé avec ce qu'on avait chez nous, donc c'est déjà bien ), du coup, j'ai recommencé le chapitre trois voire quatre fois avant de pouvoir le continue, le finir et le corriger ! On adore !

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Point De Vue Omniscient :

Samantha tremblait tellement que Jérémy la prit dans ses bras. Ses parents ne disaient, rien, ils restaient silencieux. Que pouvaient-ils dire ? Rien. Jérémy entraîna la jeune fille hors de la pièce. Il la conduisit jusqu'à sa chambre et la força à s'asseoir sur le lit. Samantha se sentait mal. Le garçon ferma la porte de la chambre avant de la rejoindre. Il s'assit à ses côtés, embrassa le front de la jeune fille puis passa son bras autour de la jeune fille pour la serrer contre lui. Samantha posa sa tête sur l'épaule de son âme sœur et se laissa aller : elle pleura à chaudes larmes.

— Quand j'étais jeune, elle me disait que le jour où elle mourrait, j'aurais déjà un mari et des enfants. Qu'elle mourrait vielle, et pas bêtement, déclara Sam d'une fois rauque.

Jérémy l'écouta attentivement, comme d'habitude. Il ne faisait que cela. Chaque mot, chaque phrase, dès qu'il entendait le son de la voix de Sam, son attention était capturée et captivée par celle-ci. Dès qu'il était près, il en perdait presque son intelligence, et se laissait guider par son instinct qui savait quoi faire.

— Puis, en grandissant, je remarquai les autres façades sombres de la vie, j'en connaissais déjà quelques-unes par l'absence de mes parents et notre situation de vie, mais pas les autres. J'ai remarqué à quel point la vie pouvait être aussi moche que belle et à quel point on pouvait autant souffrir qu'être heureux, et que des fois, c'était difficile de s'en remettre. Le jour où je me suis cassée la jambe, et que j'étais admise à l'hôpital, j'ai été surprise de voir le nombre de patient malade voire mourant. Dans ma tête, je me répétais que ce n'était pas tous les hôpitaux, et que j'y étais rentrée le mauvais jour. Puis... Je me rappelle de cette famille, que j'avais vue, à l'accueil, alors que j'étais au bord des larmes. Une moitié semblait pleine d'espoir, alors que l'autre était maussade, et semblait désespérée et résignée. Quand je fus admise à une chambre, le temps qu'on vienne me chercher puisque mes parents travaillaient encore et toujours. J'ai entendu des cris de tristesse et des pleurs provenant de l'autre chambre. Ils sont restés un moment dans le couloir, c'était la famille de l'accueil, un des leurs était mort d'un cancer du sang.

Samantha fit une pause, comme pour séparer deux moments distincts et importants. Elle allait continuer à parler, Jérémy le savait. Il la connaissait pratiquement par cœur.

— C'est à ce moment-là, dans cette chambre d'hôpital, en voyant cette famille détruite que j'avais cessé de croire ce qu'elle avait dit par rapport à sa mort. Puis, plus le temps passait, plus j'avais peur pour elle, dès qu'elle se trouvait diminuée, j'avais peur qu'elle meure. Je ne croyais en son "quand je mourrais, tu auras un mari et des enfants". Mais je ne pensais pas que cela arriverait si tôt !