Fanfiction de code lyoko

Tome 1-Chapitre 34 :

Hello les gens ! J'espère que vous allez bien et merci pour tous ses vues puisque qu'on est à 800 vues ! Merci à lachroniquedemael, à Lenaick723 et à flocon-de-neige1230 d'avoir commenter le chapitre précédent☺. Bon, je pense que ça va être l'avant ou l'avant avant dernier chapitre de ce tome 1. Je reviendrais sur un tome deux écrit sur la même œuvre ( on va dire ça comme ça ), donc vous ne serrez pas obliger de venir sur mon profil et cliqué tome 2 !

Bonne lecture !

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Point De Vue Omniscient :

Elle y sortit trois talkies-walkies. Les Nioto guerriers restèrent sans voix en se demandant dans quoi ils s'étaient embarqués encore !

— OK, dit Anita en relevant la tête, s'est quoi les équipes ?

Jérémy s'apprêtait à répondre qu'il ne savait pas quand Aelita prit la parole, elle y avait réfléchi pendant la nuit.

— Voici ce que je propose, Célia et Ulrich vous allez couvrir les autres groupes, Jérémy, Martin, Greg et le Einstein des Nioto guerriers vous vous occuperez du monde virtuel. Puis, moi, Yumi, Ulrich, Odd et Anita on va chercher ma mère, décida Aelita, ça vous convient ?

Tout le monde hocha la tête pour accepter. Aelita donna un talkie-walkie à Ulrich et à Jérémy.

— OK, s'est parti, dit Anita.

Point De Vue de Jérémy :

Me voilà avec trois personnes que je connais à peine pour une mission ultra dangereuse ! J'en voulais à Aelita de m'avoir fait ça. Même si on n'était plus à ça près. La rue ne reflétait absolument pas l'état intérieur du bâtiment. Tout était blanc ! Les murs, les meubles, le sol... Tout. Peut-être avaient-ils peur que des concurrents infiltrent leur base. Cela permettait de vérifier si c'était une personne qui rentrait de l'extérieur où s'ils avaient un espion dans leurs rangs. Malin... Oui, très malin. Mais ça faisait quand même mal aux yeux tellement que le blanc reflétait les lumières artificielles. Heureusement, nos traces étaient presque invisibles. Mais cela m'inquiétait quand même beaucoup ! Une porte que je n'arrivais pas à ouvrir me fit croire que c'était ici. Comment y entrer.

— Je suis sûr que c'est ici, comme peut-on y entrer ? m'énervai-je.

Le Einstein des Nioto guerriers leva les yeux au ciel avant de sourire.

— Martin porte-moi ! fit-il.

— Pourquoi ? demanda celui-ci étonné.

Il ne répondit pas et l'autre se contenta de le soulever. C'est que je me rendis compte de son idée : passer par en haut, il y avait une grille qui nous y permettait.

— Génial ! dis-je.

On monta et avança dans un conduit étroit jusqu'à la prochaine bouche d'égout, je regardai à travers. C'était bien l'endroit que m'avait décrit Ulrich et Yumi.

Point De Vue d'Ulrich :

On marchait depuis je dirais plusieurs minutes avec Célia dans les couloirs d'un blanc impeccable. Ce qui m'énervait. Pourquoi du blanc ? Pourquoi pas du rose ou de vert tant qu'ils y sont ! Ils auraient pu prendre une couleur normale pour des murs et un sol, une couleur qui ne tut pas les yeux quoi... Je tenais fermement le talkie-walkie dans ma main sans me soucier de ma mission. J'espère que Yumi allait bien, qu'elle allait s'en sortir.

— Et oh Ulrich je te parle ! me cria presque à l'oreille ma cousine.

— Que... Quoi ? bredouillai-je.

Ma cousine leva les yeux au ciel mi-amusée mi-agacée.

— Je te disais que tu es en couple, me dit-elle.

Ce n'était même pas une question. C'était une affirmation. Comment elle savait ?

— Comment tu sais ? demandais-je étonné.

— Anita me l'a dit, répondit-elle en souriant.

Aelita, s'était sûr, qui d'autre aurait pu le dire sinon.

— Par contre elle ne m'a pas dit qui, dit-elle avec le ton que je connais c'est bien " tu dois me le dire " !

Je soupirai pendant qu'elle affichait un sourire triomphant.

— C'est Yumi, dis-je.

Au même moment j'entendis des bruits de pas. Je pris ma cousine par le bras et nous traînai derrière une armoire.

— Bon, je vais aller faire des modifications sur le monde virtuel, dîtes à Christina d'emmener Anthéa, dit une voix que je connaissais.

Damien...

Ça allait se corser. Et pas qu'un peu. Je tapai sur le talkie-walkie avant de l'approcher de ma bouche.

— Jérémy, Damien va arriver.

Point De Vue de Jérémy :

— Jérémy, Damien va arriver.

J'étais catastrophé. Alors que l'autre Einstein m'aidait à installer le programme de destruction j'ordonnai aux deux autres de se mettre devant la porte. Je tapais vite, très vite, mais un bruit de clef qui tournait la serrure se fit entendre. Les deux reculèrent, je ne voulais pas partir. Pas tant que je n'avais pas détruit le monde virtuel des Hopper. Enfin... des autres Hopper ! La porte s'ouvrit alors que le chargement avait presque terminé, Damien Hopper nous fit face, son visage était plaqué en mode mi-étonné mi-en colère. Ça allait chauffer...

Point De Vue d'Aelita :

— Christina va arriver !

On n'était même pas encore arrivé. On avait erré pendant pas mal de temps dans les couloirs, s'en trouver. J'en étais dépitée.

— On ne va jamais trouver ! dis-je désespérée.

Yumi posa une main amicale sur mon épaule. Mais où était Odd ?

— Ça vous intéresse si je vous dis qu'à partir de l'escalier qui mène au sous-sol s'est plus blanc mais en piteux état ? demanda-t-il en remontant de l'escalier.

Je courus à ses côtés pour le rejoindre.

— Tu es génial Odd ! déclarais-je en le serrant dans mes bras.

— Allons-y ! déclara Anita.

Je secouai la tête en bas pour acquiescer. Puis, on descendit, et il y avait une porte. Une porte cadenassée.

— Ce n'est pas vrai, murmurai-je au bord des larmes alors que Yumi me consolait.

Odd cherchait quelques choses dans sa poche. Il y ressortit quelques choses que je ne pus voir car il fonça sur le cadenas. J'entendis un petit bruit. Il avait réussi à le décadenasser. Il ouvrit la porte et on rentra tous dedans. Et elle était là, attachée.

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Coucou ! J'espère que ce chapître vous auras plus. Ce chapitre est sûrement, l'avant ou l'avant avant dernier chapitre de ce tome 1. N'hésitez pas à commenter. 

Et à la prochaine !