Fanfiction de code lyoko

Tome 3-Chapitre 2

Hello les gens ! J'espère que vous allez bien ! Merci pour les 4,3K de vue, c'est juste gigantesque. Aujourd'hui je vous retrouve pour le deuxième chapitre de ce troisième tome. Merci à EnnuiSoudain et Casidylove d'avoir voté sur mon chapitre. Et merci à EnnuiSoudain, Aminaetmaryam et lele0321 d'avoir commenter.

Musique : Shape Of You de Ed Sherran

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Point de Vue Omniscient :

Cela faisait aussi un mois que Christina et Damien avaient vue débarquer la bande dans leur laboratoire. Un mois qu'ils n'avaient pas tué Franz, Odd et Sam, mais ils ne le savaient. Les deux scientifiques étaient quand même déçus que leur travail soit détruit, surtout avec le temps et le labeur qu'il leur avait fallu. Et Christina s'était promise, de se venger à tous prix. Il était hors de question pour elle de se laisser faire comme cela. Et Christina comptait bien se venger. Elle voulait détruit Franz et sa famille. Quoi qu'il lui en coûte. C'était cruel, mais indispensable pour elle. Damien la suivait comme un petit chien dans ses idées. Lui aussi voulait se venger, c'était aussi son travail après tout.

À plusieurs kilomètres de là, les Lyoko guerriers s'étaient réunie avec Samantha dans la chambre de Jérémy. Ils avaient débriefé de leurs années passées en allant aux missions contre XANA. Ce remémorant des bons souvenirs, et des moins bons. Ils se remémorèrent leurs escapes chez Damien et Christina Hopper. Leurs vies qui avaient été tellement de fois mises en jeu. La page était tournée mais ils ne l'oublieraient jamais.

— Bon, je dois y aller, j'ai rendez-vous avec Anita, elle voulait me parler, déclara Aelita.

La jeune fille embrassa Odd et fit un geste de la main à tout le monde avant de quitter la chambre. Ulrich aussi se leva, le regard à terre, Yumi non plus n'était pas joyeuse. Et les autres ne mirent pas beaucoup de temps à le remarquer.

— Hou là ! Qu'est-ce qui se passe ? demanda Odd en les dévisageant tous les deux.

— Mon père vient pour me parler cette après-midi, répondit Ulrich.

— Et ? ajouta Odd.

Le garçon soupira.

— Tu sais très bien que si son père vient c'est que cela sent le roussi, répondit Yumi à la place de son copain.

Ulrich partit sous les yeux de Yumi qui était déboussolée.

— J'y vais, je dois garder mon frère, mes parents ont je ne sais quoi à faire, déclara la Japonaise en partant à son tour.

Odd, Jérémy et Samantha se regardèrent, gênés.

— Eh bien ce n'est pas la joie, commenta le garçon aux cheveux blonds et violets.

— Tu m'étonnes, continua Samantha.

Odd se leva à son tour.

— Faut que j'aille sortir Kiwi, vous voulez venir avec moi ? demanda-t-il.

— Désolé mais je dois absolument finir mon projet pour le montrer à Mme. Hertz, répondit Jérémy.

— Je viens avec toi, cela me fera du bien de prendre l'air, répliqua Samantha en se levant.

La jeune fille lança un regard à Jérémy qui secoua la tête de haute en bas, elle lui sourit et partit avec Odd. Les deux meilleurs amis passèrent dans la chambre du garçon pour prendre son chien et ils allèrent jusqu'au parc, ils finirent par s'asseoir par terre. Samantha était contre un arbre et Odd s'était carrément allongé sur l'herbe.

— Qu'est-ce qu'il ne va pas ? demanda Odd.

— Pardon ? bégaya la jeune fille.

— Sam, je vois bien que tu ne vas pas bien depuis qu'on était dans le laboratoire des Hoppers, confirma Odd.

La concernée soupira.

— Je sais, mais ne le dis pas aux autres, intima sa meilleure amie.

— Promis juré, affirma le blond.

— C'est vrai que je suis un peu déstabilisée depuis qu'on est allé dans le laboratoire des Hoppers, avoua la jeune fille en rougissant.

Samantha se sentait honteuse et gênée. Pas que leur aventure ait changé sa relation avec Odd, enfin, un peu. Elle avait découvert tous son petit manège. Et cela lui faisait bizarre. Et tout cela lui avait fait penser beaucoup de choses, revoir beaucoup de choses et changer sa manière de penser sur certaines choses.

— Je... Tu vois... Depuis que... balbutia la jeune fille sans trouver les mots.

Odd ricana pendant que Samantha se cacha le visage.

— Crache tout, on va trier, rigola le jeune homme.

— Ah, ah, c'était vraiment très drôle, je suis morte de rire, ironisa Samantha avec une voix monotone, non vraiment, comment dire cela.

— Il y a beaucoup de choses ?

— Oui et non, ce n'est pas facile à expliquer. Déjà, ça m'a foutue un gros coup au moral notre épopée dans ce laboratoire de la mort, je ne sais pas pourquoi mais je ne m'en remets pas. J'ai failli mourir, j'ai vu ma vie défilée. Et j'ai pensé à mes parents. Cela fait longtemps que je ne les ai pas vus. Ils me manquent et j'aimerais des vrais parents. Pas des parents qui se débarrassent de leur fille pour rester seuls, en plus, quand je reviens à la maison, ils ne sont jamais là. Je ne sais pas quoi faire avec eux, même quand j'essaye de me faire remarquer ils m'ignorent. Puis, le fait d'avoir frôlé la mort me fait devenir paranoïaque. J'ai l'impression que je vais tout le temps mourir, quand je fais des expériences en chimie, quand je traverse une route, cela m'empêche de dormir. Je ne sais plus quoi faire.

Odd lui sourit tristement, il se cala à ses côtés et passa sa main sur une des épaules de son amie.

— Écoute Sam, on ne peut pas faire grand-chose.

—Je sais.

— Et... Si cela te préoccupe vraiment beaucoup tu pourrais aller voir un psy, annonça Odd.

La jeune fille tourna brusquement sa tête vers son meilleur ami.

— Un psy ? Je ne suis pas folle ! s'exclama-t-elle.

— Un psy, ce n'est pas que pour les personnes folles, c'est aussi pour ceux qui sont dans de mauvaises passes pendant très longtemps. Je pense que si tu ne vas pas en voir, cela te mettra beaucoup plus de temps.

— Mes parents ne voudront jamais, ils ne voudront pas payer et ils se demanderont pourquoi je veux y aller. Et il va bien falloir raconter ce qui s'est passé, et soit le psy et mes parents ne me croiront pas soit ils préviendront la police.

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Voilà ! J'espère que ce chapitre vous auras plus, merci pour tous ses vues, merci pour les 4,3K de vues. N'hésiter pas à commenter cela ne peux me faire que plaisir.

Et à la prochaine !