💫 Partie 3 💫

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Selam Aleykoum

~Je ne travaille pas pour moi mais pour donner le manque dont ma famille a besoin~

Précédemment

J'ai baissé la tête instinctivement parce que j'avais peur... on est monté, Fatiha ouvre la porte de chez eux et le choque...

Bismillah

J'ai vu un couloir vide, plus on marchait et plus je voyais les pièces, le salon était vide il n'y avait rien du tout a par des coussins par terre sans doute pour s'asseoir, la cuisine: il y avait un frigo mais c'est toit ce qu'il y avait, il y avait aussi le lavabo et cinq assietes ainsi que cuillères, fouchettes et verre... sa ma fait mal de voir cela mais ce n'étais pas encore fini elle m'ont emmenées dans leurs chambre et j'ai vu un placard avec des vêtements mais il y en avais pas beaucoup et deux matelas par terre avec une couverture sur chaque je... suis choqué, je ne pensais pas voir cela, j'ai honte de moi sur le coup je ne pensais pas que des gens comme cette famille existai vraiment, je voulais pleuré mais je me suis retenue, elle m'ont emmenées dans une autre chambre, où il y avais la même chose mais je comprend pas ils sont pas un frère et deux soeurs ?

Et elle m'ont emmenées dans une autre chambre où il y avait une femme.

La femme: Selam Aleykoum ma fille, tu doit être Dilara ?

Elle avait un sourire magnifique même en vivant dans la misère elle sourit, elle doit être très forte cette dame.

Moi: Oui c'est moi *sourire*

La femme : Moi c'est Hayat, tu as quel âge ?

Moi: J'ai 20 ans.

Elle: Mash'Allah Mash'Allah venez on passe au salon.

On l'a laisse passer avant nous, cette femme est magnifique elle est vraiment tres belle, elle avait un foulard sur sa tête et elle avait les mêmes yeux que les jumelles.

On l'a suivit jusqu'au salon, on s'est assis et on a parlé, j'étais fasciné par cette dame parce que elle est forte très forte, elle affronte la situation dans laquelle elle se trouve... Malgrès notre discussion intéressente je devais m'en allée au travail.

Moi: Bon bah si vous le permettez je vais devoir me levé puisque je doit allée au travail.

Hayat (mère de Soumaya et Fatiha) : d'accord ma fille revient quand tu veux. *sourire*

Je me suis levé, elle m'ont accompagnées, je les ai remercié et je suis descendu, en bas il y avais encore les garçons mais ils ont rien dit je suis passé et je suis sorti, je vais vers ma voiture et je monte à l'intérieur... et c'esg là que j'ai versé toutes mes larmes, comment une famille aussi bien peut-elle sourire même en vivant dans la pauvreté ? J'essuie mes larmes et commence a conduire.

Sur la route j'ai réfléchis et j'ai pris une résolution, j'ai décidé de les aider, je n'accepte de vivre dans la richesse et de fermer les yeux sur cette famille qui vit dans la pauvreté...

[...]

Je viens de sortir du travail et il est exactement 20:30, (souffle) je suis épuisé, je monte dans ma voiture et prend le chemin de chez moi, sur la route je vois Zakarya marché tous seul, alors je klaxonne mais il ne se retourne pas donc je vais me garer juste à côté de lui, il regarde ma voiture avec incompréhension puisque mes vitres sont teintées il ne peut pas me voir, alors je descend mes vitres.

Zakarya: Ah c'est toi j'avais pas reconnue ta turvoi.

Moi: Ma quoi ?

Dilara « L'Amour n'as pas de Prix » [ TERMINÉ ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant