CHAPITRE 5😙

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Demain c'est samedi et je ne sais toujours pa si j'irais séduire le fils de Madame Morales. D'ailleurs elle ne fait que m'appeler pour me supplier elle doit être désespérée la pauvre. Je regarde ma montre, c'est l'heure d'aller chez Brie faire un coucou aux enfants et me confier cette dame me prend par les sentiments et j'ai horreur de ça.

La nounou m'ouvre et mes deux petites terreurs sautent dans mes bras. Je les serre contre moi en leur faisant pleins de bisous.

- Tu nous à manqué tata. Parle Elena joyeuse.

- Vous aussi mes terreurs.

- Et notre sortie? Questionne Alfonso.

- On la fera, c'est que tata est beaucoup occupé je vous promet que le weekend prochain on s'éclatera.

- Promis?? S'assure Alfonso méfiant.

- Vous avez ma parole.

Ils jubilent en tournant sur eux même faisant des danses à l'improviste. J'ai intérêt à être présente pour la fameuse sinon ils me tueront.
Les jumeaux m'indique que Brie est dans le jardin.

- Ohé salut.

- Salut ma toute belle, je ne n'attendais pas. Lance t-elle surpprise.

- Je me suis décidé au dernier moment. Dis je lasse.

Elle tapote la place libre à côté d'elle pour que je la rejoigne.

- T'en fait une tête.

- Ça ce voit tant que ça?

- Oui Lucia qu'est ce qui te tracasse?

- Toi d'abord pourquoi tu es assise seule ici?

- Edouardo me manque, on s'assoit ici chaque vendredi à admirer les étoiles. Dit-elle mélancolique.

- Soit pas comme ça, il revient quand?

- Dans un mois.

- Il va bien ?

- Oui, sauf qu' il est entouré de missille et de bombe, j'ai peur qu'il lui arrive quelque chose. Je vis avec cette peur constante fini t-elle en larmes.

Je l'enlace aussitôt.

- Hé ne te laisse pas démonté, Edouardo est corriace, il s'en sortira sèche moi ces larmes et souris les jumeaux te poseront des questions sinon.

- C'est vrai je ne doit pas me laisser abattre. Continu t-elle en essuyant ses larmes.

C'est pas facile de savoir que son homme est dans l'armée et qu'il est exposé à beaucoup de chose. Je loue de le courage de ces braves femmes.

- Maintenant dit moi.

- Tu sais, Madame Morales cette dame du café?

- Oui...

- Elle m'a supplier d'aller demain dans une boîte sympa pour séduire son fils qui y sera.

- Et si tu n'arrives pas à le séduire?

- J'y arriverais, le problème c'est est ce qu'il se laissera faire? Et puis demande moi d'abord si je veux y aller.

- Parce que tu comptes rester?

- Oui, j'ai pas envie de me disputer avec sa fiancée.

- Mais cette fiancée s'interesse à son argent d'après ce que tu m'as dit.

- Madame Morales m'as dit que si son fils ne réagit pas demain soir je serais libre de partir elle trouvera un autre moyen pour ouvrir les yeux de son fils.

- C'est que fait un éffort et fonce.

- Tu es sûr?

- Oui, tu avais dit qu'elle connaissait tes parents, au moins éssaye une dernière fois.

- Ça va pas être facile et s'il enmène sa fiancée?

- Tu es plus forte que ça il craquera demain, si possible embrasse le.

- D'accord la médium.

Nous rions encore et discutons d'avenir. Je sais pas quelle stratégie adopté pour qu'il flanche. Il m'a vu qu'une seule fois.

- Tu as dîner?

- Non, Brie.

- Ne perdons pas de temps, le repas est prêt depuis.

Nous nous installons, les petits sont déjà attablé impatient. Brie à cuisiner un rôti de pomme de terre qui sent très bon. Je la remercie parce qu'une fois rentrée je me lave et m'endors.

Allongée dans mon lit moelleux, je lis mon roman pour trouver le sommeil. Un appel me distrait, je regarde c'est encore lui.

- Il fait tard, t'as pas vu l'heure?

- J'ai besoin de te voir, tu ne viens plus.

- J'ai pas le temps en ce moment.

- Tu racontes des sottises, je te connaît Lucia.

- Quand j'aurais besoin de toi tu le sauras. Bonne nuit.

J'étais tranquille et il vient m'énerver. Roberto est un fou, on s'envoyait en l'air quand j'étais à la dérive et que j'étais  complètement au fond du gouffre il m'aidait un temps soit peu à oublier par moment mes cauchemars.

Actuellement il ne m'interesse pas, c'est quand il a besoin de fric et de baiser qu'il me connaît. J'avoues qu'il fait partie de mes coups d'un soir en passant. Je suis désolée mon grand c'est sans moi, j'ai d'autres chat a fouetté.

Je réfléchi à comment je pourrais faire mes preuves devant ce mèdecin, Antonia à l'air désespérée, son fils doit ouvrir les yeux je n'aime pas voir souffrir les gens unitulement. J'avais décidé arrêter demain s'il ne craque pas mais je vais aller jusqu'à un mois au nom de l'amitié qu'elle avait pour mes parents.

Une fois son fils débarassé de cette fille je m'en irais sauf qu'il pourra tomber amoureux de moi et là ça serait difficile. Je peux aussi me fait supprendre au lit avec le doc mais sa fiancée lui pardonnera et j'aurais pas gain de cause c'est compliqué cette histoire. Je vais devoir discuter avec Antonia. Je l'appelle tant pis si elle dort.

- Oui, dit-elle d'une voix pâteuse.

-Je vous ai reveillée?

- Non, mon enfant.

- C'est faux.

- Bon, j'avoue mais tu peux me parler.

- Je séduis votre fils durant un mois, je ne m'arrêterais pas demain comme je vous l'avais dit tantôt.

- Et pourquoi?

- C'est par respect pour mes parents et vous semblez mal au vu de cette fausse union.

- Je sais pas quoi dire.

- Ne dîtes rien, on va trouver ensemble des moyens pour être en contact permanent avec le doc.

- Bien sûr tu auras tout mon aide.

- Le problème c'est qu'une fois amoureux de moi il ne voudras plus me laisser pourtant moi je n'éprouverais rien pour lui. Je lui ferais du mal en quelque sorte.

- Je lui ferais oublier cet échec.

- Et si ça ne marche pas?

- Ça marcheras je connaîs David.

- C'est compris on fera comme on n'a dit demain j'irais à cette soirée.

- Bien, si tu as besoin d'une quelquonque information je suis disponible à toute heure n'hésite surtout pas.

- J'y compte bien, bonne nuit.

- Merci pour ce geste Lucia.

Elle raccroche toute contente. Je fais le vide dans ma tête, cette tâche va s'avérer difficile. Je dois aller doucement pour ne pas le faire fuir. Les dés sont jetté à nous deux docteur David Morales....

# Les jumeaux Alfonso et Elena

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