Assalam Aleykûm
Les gagnants ne lâchent rien et les lâches ne gagnent rien.
◆ Partie 6 ◆
Omar et moi, partons de reflex à la fenêtre. Et c'était un petit, qui venait de casser une vitre avec son ballon. J'prenais l'histoire à la légère. C'était juste la vitre de notre cave.
-Moi : J'ai eu trop peur, wesh.
-Omar : C'est le petit bamboula, là-bas. Guette comment il a chaud !
-Moi : Mdrr arrêtes de dire bamboula, toi aussi.
-Omar : On bouge ?
-Moi : Vas-y, j'suis prête.
On sort de chez moi, et je monta dans la voiture d'Omar, à côté de lui.
-Moi : On vas ou ?
-Omar : Teukass, je sais.
-Moi : Bah dis-non, fais pas le mystérieux pour welou.
-Omar :*en démarrant* Ouais, t'as raison. On sort de c'te cité.
-Moi : Donc ?
-Omar : T'es chiantes. Vasy on vas au parc de *******
(Je mettrais souvent des ***, mais croyez pas que c'est un vrai endroit que j'essaye de cacher ou truc comme ça. Juste je sais pas quoi mettre, mdrr.)
-Moi : Jusqu'en ville ?!
-Omar : Tranquille bébé.
-Moi : Tais-toi.
Il me lance un sourire juste trop colgate. Mais croyez pas, j'men battais les seins tranquille. Je vous éclipse le trajet.
On étais sur un banc et on parlais de tout et de rien.
-Omar : Avoue j'suis frais, aujourd'hui ?
-Moi : T'es moche, mais c'est mieux que tes survet' à deux balles.
Il était habillé comme ça :
-Moi : Pourquoi tu t'es fait beau, même ?
-Omar :*sourire de travers* J'suis beau donc ?
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Mira : Et je danse avec Iblis
AksiEt ma vengeance sera tellement cruelle, qu'ils verront les flammes de l'Enfer dans mes yeux. Chronique non terminée. Chronique en réécriture.