🌹54🌹

877 106 55
                                    

Assalam Aleykoum

Un je t'aime coupé à l'ammoniaque.

*Note de l'auteur : "Tout d'abord je tiens hyper trop à m'excuser, mais genre grave sincèrement. On dirait trop je me prends pour quelqu'un à poster des parties que quand je veux. Mais je vous jure que dès que je peux, j'écris tout le temps. Maintenant ce qui m'a rebousté à écrire pour poster, c'est le clip de PNL, la défaite du Maroc et tout mon anniversaire, qui était hier (24/06). On entre dans la période, donc tout est bon là..."

Partie 54

Il m'a fallut quelques secondes pour realiser que Sahir, était en train de me pointer son arme vers mon crâne.

-Sahir : T'as vraiment pas honte de te pointer devant la tombe de Mama ?

-Moi : Pourquoi je devrais avoir honte ?

Sahir resta neutre pendant quelques secondes, puis laissa apparaître un petit sourire sadique sur ses lèvres.

-Sahir : Partir baiser, quand ta mère est mourante... c'est vraiment négativement audacieux.

-Moi : C'est toi qui devrait avoir honte de pointer une arme sur ta petite soeur, devant la tombe de ta mère.

Tout en caressant sa barbe de 3 jours, il lâcha un petit rire ironique. Il ne voulait pas me répondre, ça se voyait... Il ne voulait pas non plus, me lâcher du regard... et moi non plus, d'ailleurs.

Il posa son arme à terre, tout doucement. Et sans que je m'y attende, il me sauta dessus et, avec son bras, me prit par le cou, comme si il voulait m'étrangler.

Je me débattais, sans vraiment me débattre. Je sais que je ne faisais pas le poids, ni la force, mais bon si je pouvais m'éviter un maximum de bleus, ça serait mieux.

À l'entente d'un message qu'il venait de recevoir, il me lâcha soudainement, et sorti son téléphone.

C'est là que sans vraiment me rendre compte, je devenu une folle hystérique.

-Moi :*en me relevant* SAL ENFOIRÉ ! SAL ENCULÉ ! CROIS MOI QUE TU VAS LE REGRETTER, TÔT OU TARD !! T'ES QU'UN FILS DE...

-Sahir : Chuut....

Je m'arreta et le regarda s'approcher de moi lentement, avec son arme à la main. Mon regard était rempli de peur, mais je ne laissa rien paraître. Il me souleva par mon djellaba, et positionna son arme tout près de mon oreille.

Il secoua son flingue, afin que je sache qu'elle était vraiment chargé... Et tira une balle par terre, afin que je sache aussi qu'il n'avait pas peur de l'utiliser.

-Sahir : Je t'écoute, tu peux continuer ton discours ?

Mes yeux plongés dans les siens, je ne répondis pas. Aucun de nous deux, voulait baisser le regard.

À l'ancienne, on en jouait de ce jeu, du "premier qui baisse le regard, il a perdu"... J'étais souvent la première à perdre face à lui, on pouvait dire qu'il m'intimidait un peu beaucoup.

Mais bon les époques ont changés... et les gens aussi.
Il n'était plus le même pour moi. Il m'effrayait beaucoup plus. Normal, vu qu'il veut ma mort, maintenant.

Mais pour moi, clairement, ce type n'est pas mon frère. Nous contenons juste du sang en commun, c'est tout. Rien de plus.

Il me jeta brusquement par terre, tout en rigolant hypocritement:

Mira : Et je danse avec IblisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant