Assalam Aleykûm
On m'as dit reste zen, et ils auront la haine.
◆ Partie 18 ◆
{ TOUJOURS DANS LA PEAU D'OMAR }
Je lui embrasse le cou, en l'allongeant sur moi. Elle commence à enlever mon pantalon, mais s'arrête vite en remarquant que la porte venait de s'ouvrir. Putain, toujours qu'on t'es bien, t'as des sortes d'êtres humains qu'arrivent à tout foutre en l'air en un coup.
-Yasmine : Euh... je dérange ?
-Moi : Bah oui, ta rac...
-Mira : NON !!
-Yasmine : C'était pour dire, que y a une chambre de libre maintenant.
-Mira : D'accord.
Je soupire et me retourne vers Mira. La première fois, que je la voyais toute gênée. Elle faisait que de rougir, et tenais bien sa serviette. Mdrr, elle est mignone comme ça.
Yasmine sors de la chambre, et Mira la suit. Mais je la retiens par le bras.
-Moi : On continue, non ?
-Mira :*petit rire* T'es vraiment en manque, toi. T'es un sal chien.
Et c'est sur ces belles paroles, qu'elle me quitte. Putain, j'ai le seum...
{ DANS LA PEAU DE MIRA }
Je me pose sur la fenêtre, et regarde le ciel. En pensant à ces âmes qui ont rejoins trop tôt, le grand-puissant. Le jour où j'ai perdu ma mère, et que je m'étais faite en plus violée. J'vous dit même pas le scandale que y a eu.
Ma mère, j'étais pas énormément proche d'elle. Mais c'était quand même ma mère, celle qui m'a nourri, élevée, habillée, lavée... Si je vous dis que je lui ai jamais manqué de respect, c'est que j'suis une grosse mitoo. J'faisais troop la meuf, vers mes 13 piges, 14... Et j'vous jure que je le regrette tellement !! J'lui faisait la misère, je faisais que de lui répondre, j'ai vu des larmes coulées sur ses joues à cause de moi...
Et il était trop tard, pour que je m'excuse...
J'essuie mes larmes, avec ma manche et ferme la fenêtre.
Le lendemain, 6h08
Je sentais quelqu'un me posait des bisous sur la blessure de ma joue. Et rien qu'à son parfum, j'avais reconnu Omar.
-Moi : Arrêtes...
J'étais à moitié endormie, j'arrivais même pas à ouvrir entièrement mes yeux. Faudrait que j'évite de pleurer avant de dormir, la prochaine fois. Je sens Omar s'asseoir sur moi, de tout son poids. Oh avant même, je me lève il me soûle putain.
-Moi : Mais casse toi... T'es chiant...
J'essaye de le pousser de toutes mes forces, mais je finis par vite abandonner. Putain, il me casse les couilles lui.
-Omar : Bah réveilles toi.
-Moi : Mais ferme ta race, t'as cru tu pesais 10 grammes ?!!!
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Mira : Et je danse avec Iblis
ActionEt ma vengeance sera tellement cruelle, qu'ils verront les flammes de l'Enfer dans mes yeux. Chronique non terminée. Chronique en réécriture.