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Assalam Aleykoum

Je lève mon verre à la tienne, que mon bonheur fasse ta haine

Partie 47

Je tourne mon regard vers Omar, et le regarde recharger son arme à une vitesse. Même blessé il avait pas hésité à tirer, sur un des hommes. Je lâcha un petit sourire dans l'vide....

J'vous avoue que quand j'ai entendu le tir, j'me suis dit c'est fini pour moi, il m'ont eu ça y ait. Mais quand j'ai vu que le tir provenait de mon coté, j'me suis directement soulagée. Omar était des nôtres, Omar était encore une fois, pour moi.

Rahim lâcha un grognement, puis pris l'arme du corps mort, et nous la pointa aussi. Au final, c'est peut être leurs armes qu'on devrait tuer....

Nos quatres armes à Omar et moi, était égal au nombre d'armes qu'ils avaient aussi. Mais le problème n'était pas là, il était au nombre qu'on était. Nous étions beaucoup trop inférieur à eux.

-Omar :*en chuchotant* Tu vois la voiture, là-bas.... La noire ?

Je tourne la tête à ma droite, et observe le gros 4X4 garé

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Je tourne la tête à ma droite, et observe le gros 4X4 garé. Je regarde rapidement le propriétaire de véhicule, qui s'était installé sur le capot et parler avec un autre vieux.

-Moi : J'ai capté, t'inquiètes....

Je détourne mon regard et observe, mon sang qui coulait et celui d'Omar. On était en très très mauvaise posture, et notre fatigue commençait aussi à nous jouer des tours.

PAN !

Rahim venait de tirer une balle en l'air, sûrement pour nous rappeler que le jeu n'était pas fini, et qu'il n'était pas non plus en pause.

Je tourne ma tête vers Omar, en lui lançant mon regard interrogatif. Il attendu quelques secondes, et hocha la tête. C'était parti...

Je commença à tirer des balles en l'air, Omar fit de même mais sur les côtés. J'vous dit même pas ce que nos tirs avaient déclanché, comme pagaille. Rahim et ses hommes tiraient aussi, mais sincèrement avec tout le sable qui s'envolait de partout, j'vous dit même pas que leur tirs allaient n'importe où.

Il n'y avait que des coups de feux qu'on entendait, rien d'autres. Je tirais des balles un peu partout dans leur direction, quand je sentis que mon arme avait un truc. Fin, elle n'avait plus un truc... Elle n'avait plus de balles....

-Moi : J'ai plus de balles Omar, j'prends l....

-Omar : Non, uilises pas ta deuxième arme et vas-y maintenant, Mira.

Mira : Et je danse avec IblisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant