Mira : Et je danse avec Iblis

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Assalam Aleykûm

Toi t'es jaloux t'as pas de tunes, mais bon frérot sans rancune.

◆ Partie 24 ◆

J'ouvre la chambre d'hôpital de ma chère amie, Maïssa. Elle dormait paisiblement, je m'approche d'elle pour regarder sa jambe de plus près. Et en effet, Omar il avait pas rater du tout.

Je prend le bandeau noir de mes cheveux, et sans attendre plus longtemps, je lui attacha la bouche. Au moins même si elle était réveillée, elle ne pouvait plus criait. Elle essaya rapidement d'appeler un médecin, mais je lui pointa mon gun sur son front.

-Moi : Fais un seul faux pas Maïssa, et j'te jure que cette fois tu vas y passer.

Elle enlève sa main lentement du bouton, puis avec le bout de mon l'arme, je l'assomma. Jusqu'à là mon plan se passait à merveille !

Je lui banda les yeux, et lui attacha les pieds, et les mains. Maintenant fallait que je trouve une idée pour la faire sortir de l'hôpital, sans éveiller les soupçons.

J'avais pas mal réfléchi, puis finalement j'ai pris les escalier de secours, qui mèneront à la sortie.

[....]

Faut que j'trouve une voiture le plus rapidement, c'bâtard Omar il a pas voulu me passer la sienne. Je sais que j'aurais les regrets après cet acte, mais maintenant c'est maintenant, après c'est après. Je m'approche de la petite mamie, qui ouvrait sa vielle voiture. Et je lui pointe mon arme :

-Moi : J'ai pas envie de vous faire du mal, donc on va parlait cash. La voiture ou la mort ?

La vieille dame était juste terrorisait, elle me laisse sa voiture en rentrant dans l'hôpital. Sûrement pour avertir des gens. Mais si elle savait qu'en vrai, j'aurais même pas oser lui tirer dessus.

Je mis le corps de Maïssa dans le coffre, et me dirigea chez Idriss.

[....]

-Idriss : C'est pour ça, que j'paye 700 balles ?

-Moi : Ouais, elle en vaut la peine. Tiens.

Je posa Maïssa dans le canapé, et attendis ma somme. Je sais qu'Idriss n'hésiterais pas à la violer, ma vengeance était prête.

Jamais de ma vie, j'aurais souhaiter à une fille de se faire violer comme moi. Mais elle c'est pas une fille, c'est une chienne de la bad game. Elle m'a planter, alors elle va se faire violer. J'espère que ça va s'en arrêter là. J'ai d'autre préoccupations, moi. Comme venger Naïm.

-Idriss : Mais genre, je la garde autant que je veux ?

-Moi : Ouais 2 jours, comme 2 ans mon frère.

-Idriss :  Évite tes "mon frère", aussi.

-Moi :....

-Idriss :*en me donnant une liasse de billets* Tiens, y a ce qu'il faut.

-Moi : Bien vu.

-Idriss :*regard noir* Bien vu ? T'as cru j'étais ton pote, des bacs à sables ?

-Moi :....

Je prends les billets de sa main, puis ressort aussi vite de l'appartement. Putain comment je l'aime pas, par rapport à son fils. A ce propos je regarde le message, qu'Omar venait de m'envoyer :

-Omar : Oh t'es où ?

-Moi : Bah chez Madina.

-Omar : Mdrr ouais, ouais mytho bien.