Assalam Aleykoum
Que pour la famille, le chargeur je le vide
Partie 53
-Leia : Tu serais capable de répéter ta réponse ?
Mon sourire narquois toujours scotché aux lèvres, je lui répéta ma réponse.
-Moi : Mira.
Fernandes le gros, pris son arme et la chargea immédiatement, mais Leia le stoppa net dans son action.
-Leia : Attends...
Fernandes baissa son arme et, lança un regard interrogatif à sa complice. Sans répondre à son regard, elle me lança un sourire et s'approcha de moi.
-Leia : On peut dire que tu as perdu, mais tu n'a pas menti.
-Moi : Chouette !
-Leia : Te fous pas de moi Omar, n'empires pas ton cas.
-Moi : Écoutes moi bien, tes coups de pressions tu te les gardes. À toi toute seule, j'vois pas tu compte faire peur à qui. Ça se voit que t'es qu'une sa...
-Leia : Salope ? Omar, tu me vois que depuis 3 jours à peine, sous ce que je te laisse voir. Si j'veux t'avoir dans mon lit, je t'ai sans problèmes. Ça fait plus d'un mois que je regarde tes faits et gestes... Et je sais que tu sais agir. Mais moi tu sais pas, si j'suis capable d'agir.
-Moi : Ta...
-Leia : Saches que j'suis bien plus pire que ta vieille meuf !
-Moi : Ne compares pas les pièces rouges et les billets verts.
-Leia : Fernandes, enferme le dans une petite salle. Et ne le fait pas sortir avant 45 minutes ok ?
-Fernandes : L'enfermer ?
-Leia : Oui, petit claustrophobe comme il est, sa patience aura des limites.
Elle dit cette dernière phrase, en me lâchant un petit clin d'oeil. Les yeux plissés, je laissa Fernandes me menottaient les mains et me poussait vers la sortie.
Elle est forte et à redouté la petite. Personne ne pouvait savoir que moi Omar, j'étais réellement un claustrophobe. J'déteste être enfermé longtemps, et surtout pas plus de 45 minutes. J'deviens ouf, je me contrôle pas et ouais, c'est comme si on me donnait des coup à mon coeur.
Le regard vide, je descendit les marches que Fernandes me forçait à faire. Et rien qu'au niveau de la température, on pouvait remarquer qu'on descendait très bas.
J'étais stressé à l'idée de me dire que jvais rester comme ça, à rien faire pendant plus de 45 minutes. Mais bon tant que je ne suis pas mort, on peut encore croire à l'espoir.
On passa devant une porte ou des voix se firent entendre, et Fernandes s'y arrêta devant sans y entrer, puis alluma une petite clope.
-? : Elle est en Syrie... En Syrie putain !! Est ce que vous vous en rendez compte là ?! Elle est passée sous nos doigts sans pressions, bordel !!! SANS PRE-SSION !
-? :....
-? : Mais ferme ta putain d'gueule, toi ! Sahir il est à Damas, elle, Mira elle est à Alep. Et encore on est même pas sûr, que ce soit dans cette ville là.
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Mira : Et je danse avec Iblis
ActionEt ma vengeance sera tellement cruelle, qu'ils verront les flammes de l'Enfer dans mes yeux. Chronique non terminée. Chronique en réécriture.