Assalam Aleykoum
Regarde moi dans les yeux, et dis moi qui est le plus fou ?
Partie 45
-Moi : C'est bon, arrête de le regarder.
Omar qui fixait toujours l'homme, se leva d'un coup et s'installa à la place libre à coté de lui. Même pas il m'avait un peu calculer. J'comprenais pas pourquoi Omar ne lâchait pas l'affaire avec ce gars, fin lui l'homme avait déjà détourner le regard et était déjà passé à autre chose. Je soupire et regarde la scène Omar, qui commençait la discussion avec l'homme.
-Omar : J'sais sous tes lunettes tu m'vois, donc on va parler zen. Tu travailles pour qui ?
-L'Homme : Je ne parle qu'aux gens de mon espèce.
Je vis le regard d'Omar s'assombrir, et ses sourcils se fronçirent. Le mec je sais pas du tout à quoi il jouait, sérieux. Mais si il veut vraiment énerver Omar, il allait faire un petit game over rapide.
Il baissa ses lunettes de soleil, et lança un petit regard vicieux à Omar. Omar ni une ni deux, il se leva et le tira par la cravate en lui imposant sa tête face à lui.
-Omar : P'tit pd, tu crois j'suis un chien ?!
Instinctivement je me leva, et sépara Omar du monsieur. Heureusement que j'étais là pour réagir, parce-qu'avec les spectateurs que l'avion contenait, Omar aurait pu aller bien plus loin.
-Moi : C'est bon, arrête....
-L'Homme :*sourire au coin* Vous avez visiblement un problème avec vos yeux, dans votre famille.
-Moi :....
-L'Homme : Quelle ressemblance frappante que tu as, avec ton frère.
Je lui lance un regard noir et à la fois interrogatif au gars. Y avait pas 36 000 solutions, c'était un homme de Sahir. Venu pourquoi ? Je ne sais pas.
-Moi : Viens, calcule pas.
Je tire Omar vers moi, en essayant d'esquiver au maximum le regard du gars. J'avais pas peur de lui, juste je n'aimais pas ce qui dégageait. Je comprenais même pas pourquoi il ne me laissait pas voyager, tranquillement.
-L'Homme : Allez écoute ta femme, et suis là.
-Omar : Mais ta grand-mère toi, si j'te bute pas av...
-L'Homme :*en le coupant* On réglera ça, quand on sera à l'aéroport de Tabuk petit.
Je réussis à tirer Omar, qui répliquait encore face à cet inconnu. Il a vraiment une grosse gueule Omar, parle trop pour rien. C'est vraiment défaut chez lui, ça.
-Omar : On va régler ça à ma manière.
-Moi : Mais c'est bon wesh, calme toi. Il est plus là, cousin.
-Omar : Vas-y il m'a cassé les couilles, c'te tahane.
-Moi : Imagine il a des armes ?
-Omar : Ça tombe à pic pour lui, parce-que j'hésiterais pas à utiliser les miennes.
-Moi : T'es vraiment un fou toi, putain... T'sais, c'est un des hommes de Sahir quand même.
-Omar : Qu'est ce que j'm'en tape la couille gauche, qu'il soit un de ces hommes à ton frère..
-Moi : T'as vraiment besoin de te calmer toi, t'es sur les nerfs là.
-Omar : Hmm.
Putain ça casse vraiment les couilles, que l'ambiance ai changé. De base on passait un putain de voyage tranquille, on riait et tout et là, d'un coup t'a l'autre qui sort sa tête pendue pour tout gâcher. Je pose ma tête sur l'épaule d'Omar, et lui prends sa main pour lui y poser des bisous.
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Mira : Et je danse avec Iblis
AzioneEt ma vengeance sera tellement cruelle, qu'ils verront les flammes de l'Enfer dans mes yeux. Chronique non terminée. Chronique en réécriture.