Assalam Aleykûm
Chaque sommeil est un rappel de la mort, et chaque réveil est une résurrection.
Partie 37
-Le policier : Descendez rapidement, les mains derrière la tête.
Je regarde Omar avec stupéfaction, et ouvre la porte, en plaçant mes mains derrière la tête.
Les policiers s'approche de moi, et me font une fouille à la vite fait. J'regardais partout autour de moi, et j'voyais des gens courirent de partout, de sortir de la banque affolés.
-Moi : Qu'est ce qui s'est passé ?
-Le policier : Braquage.
Je tourne la tête vers Omar, qui se faisait lui aussi fouiller.
-Le policier : Vous êtes venus pour ?
-Moi : Euh... Bah, pour retirer de l'argent.
-Le policier : Hmm, et vous êtes sûrs vous êtes pas avec les voleurs ?
-Omar : Non wesh ! Puis même si on l'était, on vous l'aurez pas dit, quel question ?
Je tourne direct ma tête sur Omar, mais qu'est-ce qu'il fait ? Il veut mettre le doute aux policiers, ou quoi ?
-Le policier : C'est drôlement bizarre, vous avez exactement la même tête que le braqueur principal.
-Moi : J'peux voir les vidéos de surveillance ?
Le policier me regarda de haut en bas, en hésitant puis fini par hocher la tête.
J'attrape Omar par le bras, et entre dans la banque avec lui. Tout était dévastée, les vitres étaient toutes en mille morceaux, des casiers étaient renversé de partout... Fin bref, c'était le dawa.
Je m'approche d'une dame qui était derrière son comptoir, mais dès qu'elle me vis, elle me tenda une liasse de billets, et crier pour que je lui fasses rien.
J'ai pas vraiment chercher à comprendre, je prends la liasse de billets, et les mis dans ma poche.
-Moi : J'suis pas venue pour ça, madame.
-La dame : Non... Laissez-moi... Tenez des billets, encore....
Je prends une seconde fois, les billets qu'elle me tendait. Elle avait trop l'air terrorisée, ça me casser les seins, là.
Je m'approche d'un autre comptoir, où un homme s'y trouvait. Il avait l'air mais alors pas du tout terrorisé, ou quoi que ce soit. Il avait vraiment de s'en battre les couilles, la vie.
-Moi : Monsieur excusez-moi, vous auriez pas les vidéos de surveillance ?
Le monsieur releva la tête vers moi, puis il me regarda quatre, cinq secondes sans réagir.
-Le monsieur : Euh oui, regardez.
Je me penche un peu, et regarde les vidéos de déroulaient, sur son ordinateur.
Dès que je vis l'homme cagoulé entrer, je le reconnu de suite. J'avais même reconnu son bras droit, à ses côtés : Rahim. Je les regardais tous les deux attentivement. Ils étaient avec toute une troupe derrière, au moins une dizaine.
Sahir explosa les vitres à coup de pied de biches, t'sais les bâtons dur là ?
Puis d'un coup le monsieur tourna l'ordi, avant que je puisse voir la fin entière.
-Moi : Mais euh... Vous foutez quoi, là ?
-Le monsieur : Lisez ce message, il vient de la part d'un des braqueurs.
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Mira : Et je danse avec Iblis
AzioneEt ma vengeance sera tellement cruelle, qu'ils verront les flammes de l'Enfer dans mes yeux. Chronique non terminée. Chronique en réécriture.