🌹25🌹

1.8K 183 146
                                    

Assalam Aleykûm

Comme un gardien de but, j'me sens toujours visé

◆ Partie 25 

  J'étais grave stressée, rien que je tremblais. Comme par hasard, il a fallu que je laisse mon arme, chez Omar. Il a fallait que je trouve, une idée rapidement. Je regarde partout autour de moi, et je trouvais pas d'idée.

Je m'approche du gars et d'Omar, mais Omar me fit signe de ne pas venir. Et c'est la, que j'ai su quoi faire. Je rentre dans le restaurant encore une fois, et me dirige dans n'importe quel table. Je cherche le couteau le plus tranchant et sors avec, quand j'entendis un coup de feu.





Je couru le plus rapidement possible avec mes talons, dehors.

-Le babtou : Maintenant tu me crois, si c'est un vrai ?!

Il avait osé lui tirer sur le bras, ce fils de pute. J'ai vu direct rouge, Omar se mit à crier de douleur. Je m'approcha du mec par derrière, et lui planta le couteau en bas du ventre.

Le babtou lâcha l'arme, et s'écroula à terre. Je le regardais gémir, ça m'faisait vraiment mal de le voir comme ça. Je m'approche d'Omar, en laissant l'autre par terre.

-Moi : Ohh putain Omar, j'te jure j'suis désolée.

Il faisait nuit sombre, et j'voyais pas la blessure d'Omar. Mais rien qu'à l'entendre souffrir, on sait que le babtou ne l'avait pas raté. Il perdait énormément de sang, dans son chemisier blanc. Avec toutes les forces qu'il me restait, je l'amena à sa voiture.

-Moi :*en allumant le moteur* J't'emmène à l'hôpital, t'inquiètes.

-Omar : Nan... On vas chez moi....

-Moi : Mais t....

-Omar :*en me coupant* On vas chez moi, j'te dis....

Je ne conteste pas, et prends la route pour chez lui. Il avait sûrement ses raisons à lui, pour qu'on aille pas à l'hôpital. Quand j'entendais sa respiration devenir irrégulière, mes nerfs contre ce fils de chien grandissaient. J'espère vraiment que je l'ai pas rater, hein.

[....]

-Moi : Et là, ça va ?

-Omar : Doucement....

Je remis du désinfectant dans le mouchoir, et l'appliqua sur sa blessure qui prenait toute l'épaule.

-Moi : Et là ?

-Omar : Ouais....

J'enlève le mouchoir, et lui attacha une tonne de sparadrap sur l'épaule.

-Moi : Heureusement t'es rasé, des sous-aisselles hein.

-Omar : Ouais.

Je fini de lui attacher tous ces pansements, puis lui pose un bisou sur l'épaule.

-Moi : Et voilà.

Je pars ranger tous les trucs que j'ai utilisée dans le salle de bain, puis rejoint Omar dans le lit.

-Moi : Ca va, pas trop mal ?

-Omar : Merci, hein.

Je me contente de lui faire un petit sourire, puis lui dit :

-Moi : T'as passé une bonne journée, quand même non ?

-Omar : Sincèrement ?

-Moi : Ouais ?

-Omar : J'ai kiffé.

Mira : Et je danse avec IblisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant