Assalam Aleykûm
On a pas besoin de mourrir, pour perdre la vie.
◆ Partie 19 ◆
-
Moi : Omar, j'espère tu rigoles là ?
-Omar : Mais ta gueules, j'ai une tête à rigoler la ?!
J'regarde Omar en train, de réactiver le moteur. Il enlevait la clé, puis la remettait à chaque fois, mais ça marchais même pas, un peu. J'commençais à paniquer, wesh. De plus, les bouchons commençaient à se déboucher.
J'me retourne pour voir, si les gars étaient toujours derrière nous. Et en effet ils étaient là, avec le sourire vicieux.
-Omar : Nique ta race, avance !!!
Je tourne la tête vers Omar, il commençait à s'énerver contre sa voiture, wesh.
-Moi : Laisse-moi faire...
-Omar : Ta gueules !!
-Moi : Mais nique ta race.
-Omar :*en me jettant les clefs de la voiture* Oh, et puis tiens !!
J'attrape les clefs, et détache ma ceinture. Mais j'ai même pas le temps d'essayer de redémarrer la gova, qu'on toque à la vitre. Omar baisse la fenêtre, et c'était un monsieur d'une voiture voisine, probablement.
-Le monsieur : Vous attendez votre mère, pour conduire ou quoi ?!!
Omar lui fout une patate, qui fit tomber le monsieur par terre.
-Moi : T'es sérieux, on est en pleine autoroute et tu fais ça ?!
-Omar : Ta gueules.
-Moi : Mais toi, ta gueules !! T'es vraiment un fou, la vie. Tu crois que t'es le seul, qui est sous-tension là, c'est ça ?! Tu...
Omar lève sa main vers moi, mais je le stoppe vite. Puis finalement, je le relâche aussitôt.
-Moi : Mdr, vas-y tape-moi juste ?
Il me lance un regard intense, puis fini par baisser sa main. C'est bien, ce que je pensais... Si il m'aime vraiment, il ne me frapperais pas.
Je regarde des gens sortir de leur autos, pour venir ramasser le monsieur. Au moins, y a encore des bonnes persones, ici sur Terre. Un moment un gars qui devait avoir mon âge, s'approche de notre fenêtre qui était toujours abaissée.
-Le gars : Oh Mira, tiens j'ai essayer de récupérer ton tel !! Mais fais gaffe à toi !! Ils veulent te...
Le garçon n'a pas eu le temps de finir sa phrase, qu'un autre monsieur vient lui tirer son haut pour l'emmener à la voiture, de derrière.
-Omar :*en mode hyper froid* C'est qui ?
-Moi : J'sais pas...
Je pose la téléphone dans mon arrière poche, sans pour autant le calculer. À ce que je vois, ce garçon voulait m'aider. Mais pourquoi ? Je le connais, même pas.
J'arrête de me poser des questions, et enfile la clé dans le contact de la voiture. Et Dieu merci, elle redémarre aussitôt !!!
VOUS LISEZ
Mira : Et je danse avec Iblis
AcciónEt ma vengeance sera tellement cruelle, qu'ils verront les flammes de l'Enfer dans mes yeux. Chronique non terminée. Chronique en réécriture.