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Assalam Aleykûm

Pas besoin d'être une balance, pour savoir que tu ne fais pas le poids.

Partie 7

Il soupire en levant les yeux aux ciels. Il n'avait pas changé sa posture, toujours la avec sa tête négatif.

C'est la, que je compris que c'était mort. J'enlève mon pied de la porte, et je le vis me fermer directement la porte sous le nez.

J'étais vénère, c'était le seul qui pouvait m'aider en plus. Je m'assois sur une marche, et réfléchis à comment faire maintenant. J'allais quand même pas abandonner avant d'avoir commencer ?

J'peux voler des armes à mon père ? Mais non, déjà ça se fait pas et même si il déteste Naïm, il y est pour rien dans sa mort. La preuve il est venu à son enterrement et m'a présenter ses condoléances deux fois. C'est vrai qu'au début j'ai trouver ça étrange, mais après tout c'était quand même son petit-fils.

Je me relève de la marche en ayant la tête bouleversée. J'sais plus quoi faire. J'comprends pas, j'ai rien demander moi. Juste une arme.

-Adam : Mira ?!

Oh non, il veut quoi encore ? Je monte les marches restantes pour arriver au dernier étage, devant sa porte.

-Adam : Tiens.

Il me tends un papier un peu froissé, que je pris directement.

-Adam : C'est l'adresse d'Idriss, c'est un gars il peut te vendre des armes, à un certain prix.

-Moi : Environ ?

-Adam : J'sais pas, la plus petite arme doit coûter 4500 balles.

Ah ouais, juste la plus petite ? Mdrr j'ai même pas un centimes de côté, wesh.

-Adam : T'a même pas intérêt à sortir mon blaze, dans tes affaires !! J'en ai déjà assez sur le dos.

-Moi : Oui, t'inquiètes.

Il me regarda de haut en bas, puis cracha sa fumée de cigarette.

-Moi : Merci.

Et sans que je m'y attende, il me pris dans ces bras, en me posant des bisous sur le front et les cheveux.

-Adam : Fais-gaffes à toi. Je te l'ai dis t'es comme ma fille pour moi. Fais juste pas la même erreur que ta mère.

Adam c'est une bonne présence paternel pour moi.

-Moi :*en me détachant un peu* Quel erreur ?

-Adam : Ton père.

Je comprenais rien à ce qu'il parlait, moi. Mais bon, clairement je m'en tapais un peu le système.

Il me lâche puis me fit un dernier bisou sur le front en me disant "Courage".

Je descends les huit étages, avec le sourire aux lèvres. J'ai pas monter tout ça pour rien, au moins.

Mira : Et je danse avec IblisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant