Chapitre 51

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Une douce chaleur inondait mon corps. Je me décalais et un poids se posa sur mon entrejambe. Je frissonnais. Je n'avais jamais eu de rêve aussi agréable. Cet parfum. Oh. Rémy m'avait rejoint hier soir. Les images de la soirée me revinrent en vague. J'ouvris brusquement les yeux. Ce n'était pas un rêve. Dans son sommeil, il avait posé la main sur mon sexe et je me frottais à lui comme un chat. Je me figeais. Heureusement qu'il ne s'était rendu compte de rien. Je n'avais plus qu'à trouver comme aller prendre une douche glaciale sans le réveiller. Avant que je n'ai pu exquiser le moindre geste, ses doigts se mirent à me caresser.

-Pourquoi t'es-tu arrêtée?

-Le spectacle était fascinant.

Une simple précision sur mon clitoris et je levais les hanches, m'appuyant contre sa main. sa bouche explora ma nuque. La brulure de sa barbe naissante ... Sans réfléchir, je basculais les hanches pour aller à sa rencontre. Sans plus de cérémonie, il écarta mon pyjama et plongea un doigt en moi. Je me cambrais et gémissant, l'enfonçant encore plus profondément en moi.

-Hmm, déjà trempée pour moi. A moins que tu ne rêvais à quelqu'un autre cette nuit? Dis-moi.

-Non.

-Non quoi?

-Je n'ai rêvé à personne.

-Alors c'est moi qui te mets dans cet état? demanda-t-il en entament de lents va et vient

-Hmmm.

Son sourire frôla mon cou.

-Bien, parce que je n'ai pas l'intention d'arrêter.

Il se souleva sur un coude, et accéléra les mouvements de sa main, me laissant brulante de désir.

-Baisse ton débardeur, je veux voir ta poitrine.

Je lui obéi dans le brouillard.

Sa bouche aspira mon téton et je geins comme un animal blessé. Ces doigts, sa bouche s'était trop, je me collais à lui , recherchant la délivrance. Brusquement il s'écarte et me retourna sur le ventre.

sa main revint à la charge, érection contre mes fesses de son bras libre enleve mon haut et caresse lentement ma peau ce qui contraste avec la violence de son assaut. Je me crispais.

-Calme-toi ma douce, pas de pénétration j'ai compris, juste... de l'amusement. Il retira sa main et me déshabilla entièrement. Je sentis son t-shirt sur mes fesses

-Ca n'a pas l'air juste, grondais-je.

-De quoi?

-Je suis à poil et toi...

-Bébé, il faut mieux que je garde quelques vêtements crois-moi, dit-il tout en enlevant son t-shirt. Mieux? demanda-t-il en se plaquant contre mon dos.

-Ca dépend, où est ta main?

Son index suivit la courbe de mon genou et remonta lentement. Je m'agitais pour me rapprocher du but.

Il rit contre mon oreille.

-J'aime quand tu es impatiente.

Sans prévenir, ses doigts s'enfoncèrent et son autre main se plaqua sur mes reins. Me laissant à sa merci. Je ne pouvais plus m'arrêter de gémir, essayant de me rapprocher de sa main. Si je pensais que c'était intense, je me trompais, ses va et vient se virent encore plus pressant, il appuya plus fort sur mon clitoris devenu douloureux.

-Rémi, le suppliais-je d'une voix éraillée.

Il se retira avant de revenir à une force incroyable me faisant crier de plaisir. A demi consciente, je sentis le matelas bouger et ses jambes m'écarteler. Je sentis son érection chaude s'insinuer entre mes fesses.

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