Cofee

chapitre 21

PDV Idriss

Je me réveil doucement, les rayons du soleil chauffant mon visage. Je frotte doucement mes yeux et je me fige quand j'entend quelqu'un bouger a côté de moi. Je tourne la tête et tombe sur le visage endormis de Maya. Là des images de la nuit me reviennent en tête. Putain. Je la revois sous mon corps, sa lèvre fortement tenu entre ses dents, ses mains dans mes cheveux, ses lèvres sur les miennes, son corps nu contre le miens.
Hier je m'étais laissé contrôlé par mes pulsions sans songer aux conséquences.

Je la vois faire une légère moue et elle ouvre les yeux et se les frottent légèrement. Quand elle pose son regard sur moi, elle fronce les sourcils avant que sa bouche ne s'ouvre légèrement formant un "o". Elle saisit sa lèvre inférieure entre ses dents, ses joues rougissent et elle se lève du lit et enfile rapidement un t-shirt et une culotte. Elle se dirige vers son salon.

La voir gênée comme ça me fait sourire. Je me lève et enfile mes vêtements. Je vais dans la cuisine et je vois Maya attendre que son café coule et se mordant l'ongle du pouce. Je soupir légèrement et prend a mon tour une tasse dans le placard.
Elle pose son regard sur moi et fronce le nez. Elle secoue doucement la tête et s'assoit sur le plan de travail. Je me tourne vers elle et la regarde en souriant.

- C'était un pure moment d'égarement Idriss.

Je ricane et me rapproche d'elle.

- Ah ouais?

Elle hoche la tête en buvant une gorgée de sa boisson amer.

- Un pure moment d'égarement. Dit elle.

- Donc, il ne se reproduira jamais ce moment d'égarement?

Elle plisse les yeux et secoue la tête de droite a gauche.

- Jamais.

Je me place devant elle et place mes mains sur le plan de travail autour d'elle.

- Pourtant hier t'as eu l'air de prendre ton pied. Dis je.

Un sourire en coin elle décide de rentrer dans mon jeu. Elle rapproche son visage du miens.

- Tu sais Idriss, une femme qui fait beaucoup de bruit pendant l'acte n'est pas vraiment une bonne chose.

Ses lèvres frole les miennes. Elle descend du plan de travail en riant et je la regarde partir. Je m'appuie contre le plan de travail et ricane. Elle a complètement laisser tomber son côté innocent, timide. Elle me rend fou.

Elle revient quelque temps après habillée D'un short en jean et d'un chemisier blanc en soie. Quelque bouton son ouvert laissant apparaître la naissance de sa poitrine de manière discrète. Elle a retroussé ses manches jusqu'à la pliure de son code.
Elle passe devant moi en attachant ses cheveux en queue de cheval. Elle enfile une paire de vans et se retourne vers moi.

- Je dois aller voir quelque chose, soit tu viens avec moi, soit tu part.

- Tu dois aller voir quoi?

Elle me sourit en guise de réponse et sort en m'insitant a la suivre, près avoir mis son sac sur son épaule.
On descend les marches et commençons notre trajet.

- Et du coup tu va voir quoi?

Elle tourne son visage vers moi.

- Je me sens seule dans mon appartement, et j'ai toujours voulut avoir un chien. J'ai un ami dont les parents on un couple de staff. La femelle a eu une portée il y a deux mois et ils m'ont proposé d'en adopter un.