Cela fait une semaine que nous sommes dans cette magnifique maison, nous voulions être seul dans notre cocon.
Peut-être par égoïsme ou par peur, nous n'avons prévenu personne de cette nouvelle grossesse, même si cela se verra d'ici peut.
Drogo et Antone sont au petit soin.
Ce matin, quand je me lève, je ne me sens pas en grande forme. Je décide sans aller déjeuner de me plonger dans un bon bain.
Je suis dans mes pensées quand je vois une frimousse passer sa tête dans l'embrasure de la porte.
Drogo : bonjour mon cœur.
Il me sourit de toutes ces dents. Depuis l'annonce de ce nouveau enfant il est rayonnant.
Anna : bonjour beau blond…. Tu as bien dormi ?
Drogo : pas beaucoup. Je préféré admirer le magnifique ange qu'il y avait à mes côtés.
Il s'approche de moi et vient s'asseoir sur le bord de la baignoire.
Anna : alors comme ca, tu joues les voyeurs quand je dors ? ?…
Drogo : je l'ai toujours fait. Depuis le jour où tu as déboulé au manoir. Mais maintenant c'est différent.
Anna : ha oui en quoi est ce différent ?
Il se glisse dans mon dos ces mains sur mes épaules, et son visage près de mon oreille.
Drogo : maintenant j'observe les deux amours de ma vie ma chérie.
Je frissonne lorsque ca bouche effleure mon oreille. Il le remarque et me fait comprendre ce qu'il veut.
Il fait glisser ces mains le long de mes bras et couvre ma nuque de baiser, ce qui a le don de me rendre folle. Tout mon corps frissonne sous ces mains et je sens un large sourire se dessiner sur ces lèvres.
Drogo : j'adore voir l'effet que je te fais…..
Anna : ne joue pas à sa Drogo…
Drogo vient se placer accroupi à mes cotes.
Drogo : qui a dit que je jouer ? ?? Lève-toi ma belle.
Je m'exécute pendant qu'il s'éloigne pour se saisir d'une serviette, puis il revient et m'enroule dedans, avant de m'aider à sortir.
Il se dirige vers la chambre et je le suis. Quand il se stoppe près du lit, je le rejoins. La, il empoigne ma serviette pur la laisser tomber au sol.
Anna : Ca me rappelle des souvenirs….. (Oui, quand Drogo s'était introduit dans ma chambre et m'avait vu nu après m'avoir arraché ma serviette. Le temps où lui et moi jouions au chat et à la souris)
Drogo : comment pourrais-je oublier la 1re fois où j'ai vu la plus magnifique des créature complètement nu.
Son regard sur moi n'a pas changé. C'est un véritable brasier que je vois.
Il me fait doucement basculer sur le lit. En quelques secondes il et aussi nu me laissant le loisir d'admirer son corps si parfait.
Il se place au-dessus de moi et m'embrasse avec fougue. Mon désir pour lui n'a pas de limite. À son contact, je m'enflamme à tous les coups.
Il caresse mon corps du bout des doigts sans jamais quitter mon regard.
Après de très longues minutes, il s'empare de mon corps ce qui me fait lâcher un soupir de bien-être, un soupir d'une envie débordante de lui.