Y a personne qui voudra m'aider même si je crie "mayday".
Mariaah
Je venais d'arrivé dans ma chambre avec Yanis, le bateau était grand comme un bateau de croisière en fait. Par rapport à ma jambe la balle l'avait juste effleuré, ça m'avait donc un peu ouvert et brûlé mais j'allais mieux j'avais juste un petit pansement. Notre chambre était spacieuse.
Franchement Jean avait gérer, en parlant de lui. Hier j'avais versé ma petite larme pour lui, c'était triste la façon dont il était mort, on a prié pour lui tous ensemble puis on s'est un peu rappeler tous ce qu'il a fait pour nous. C'était un brave, moi qui au début ne le sentais. Jean est mort pour nous.
Je suis sorti de la salle de bain en allant sur le lit dans les bras de Yanis. Franchement on était bien, lui et moi dans une chambre, Naima et Farès dans une autre et Clara et Fazal dans une autre. Le bateau était grand, propre et beau. Franchement, il a géré. Je le remercierai jamais assez.
Yanis : C'est bon toi tu commences avec tes robes la.
Moi : Pendant je sais pas combien de jours Yanis j'avais une robe d'esclaves alors maintenant tu vas me laisser profiter de mes vêtements, j'te le dis.
Yanis : Hmhm, la ça va c'est pas trop moulant mais fais belek aussi.
J'ai tshiper et ça a toqué à notre porte, je suis allez ouvrir et c'était Naima.
Naima : Vous venez ? On va mangé.
Yanis et moi sommes sortis de la chambre puis on s'est dirigé vers le réfectoire avec les autres. On s'est assis puis on a un peu regardé les alentours, il y avait que des noirs et arabes, tout le monde parlait avec tout le monde franchement c'était bien. Il y avait des blancs aussi, ils étaient car ils sortaient avec une communauté différente d'eux, ils devaient certainement fuir le pays pour vivre leurs amours. Comme Yanis et moi.
Serveur : Tenez vos plats.
Nous : Merci beaucoup.
Malgré le fait qu'on soit tous ici clandestinement l'ambiance était présente, enfin nous étions tous dans la même merde en vrai donc on n'avait pas de quoi se faire la guerre.
Naima : Mais en fait, t'étais une vrai esclave ?
Moi : Baah ouais, enfin ils me fouettaient pas et tout ça hm. Mais des fois je dormais par terre, dehors. Je mangeais peu, enfin si Clara n'avait pas été avec moi je ne sais pas comment j'aurai survécu.
Clara : J'suis vraiment désolé, - soupire - J'aurai vraiment jamais pensé que mes parents auront fais ça.
Yanis : Mais d'ailleurs ils savent que tu es parties ?
Clara : Je leurs ai écrit une lettre, il l'a liront demain matin. De toute façon, depuis longtemps je voulais partir de cette maison. Je ne m'entends vraiment pas avec eux et je voulais absolument rejoindre Fazal. - sourit -
Fazal : D'ailleurs merci d'avoir pensé à elle, de nous avoir réuni wAllah vous avez gérer.
Moi : C'était un signe de Dieu ça, de toute les familles ici je suis tombé dans la sienne comme par hasard. C'est qu'il fallait qu'on se rencontre et que tout ça arrive.
On a terminé de manger puis on est tous monté dans notre chambre, je suis allez dans salle de bain j'ai enlevé ma perruque car oui, je les ai enfin récupérer. J'me suis brossé les dents, je suis allée me laver puis j'ai laissé la place à Yanis. Pendant ce temps là, j'allais appelé ma mère.
_ Conversation Téléphonique
Maman : J'espère que tu m'appelles du bateau.
Moi : Effectivement, on est enfin tranquille maman.
Maman : - soupire - Ton père et moi étions tellement stressé tu vas bien ? Nous n'avons pas dormi de la nuit la ton père s'est endormi.
Moi : Je l'appellerais quand je serai en Espagne ou quand j'aurai du réseau. Oui je vais bien maman, Jasmine viendra te rejoindre bientôt.
Maman : Oui elle m'a dit la nouvelle, je suis heureuse pour elle. Tu dira merci à Jean pour nous.
Moi : Tu le dira dans tes prières maman, Jean est décédé. On lui a tiré dessus pendant qu'on se dirigeait vers le bateau.
Maman : Je suis désolé.. - soupire - Je le remercierai jamais assez pour tous ce qu'il a fait pour vous. Les héros ne portent pas toujours de cape.
Moi : Exact.
On a continué à parler pendant un moment et j'ai raccroché pile au moment où Yanis sortait de la salle de bain. Il est venu vers moi, je me suis allongé dans ses bras et il me faisait plusieurs petit smack pendant qu'il caressait mon dos sous ma chemise de nuit.
Yanis : Enfin libre.
Moi : - sourit - Enfin libre.