Chapitre vingt-huit.

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\\ Attention, ce chapitre contient du contenu pour adultes / scène de viol //

Guidé par son instinct animal, Ridzac me plaque contre son corps et oblige mes lèvres à s’écarter pour glisser sa langue dans ma bouche. Terrorisé, je ne réagis pas, laissant mon sang se glacer dans mes veines et sa langue me découvrir. Mes larmes silencieuses roulent sur mes joues sans que cela n'affecte le loup blanc. Je suis pris au piège. Je n'arrive pas à me débattre de ses bras. Ridzac est beaucoup plus puissant que moi et à présent, il ne contrôle plus rien. Sa force a décuplé.

-Ridz…Hm !?

J'ai mal quand ses mains s'appuient sur mon corps de cette manière là. J'ai peur et je tremble de terreur en essayant malgré tout de le repousser pour lui montrer mon non-consentement.

Je tente de le faire reculer avec mes mains contre son torse pour l’éloigner mais il me fait que quelque pas en arrière avant de me pousser et me de faire tomber sur les escaliers. Mes fesses rencontrent une marche et quand je tente de me redresser pour prendre la fuite, sa carrure me recouvre comme si les ténèbres se propageaient en moi.

À nouveau, il plonge sa langue pour soulager ses ruts. Il n'a pas conscience qu'il s’agit de moi et je n’accepte pas sa manière de faire. Mais il bloque mes poignets d'une main ferme, plantant par moment ses griffes dans ma peau, avant de descendre sa gueule sur ma mâchoire qu’il vient lécher et mordre. Il me vole un cri de détresse quand il me touche aussi froidement. Le Ridzac doux et attentionné s'est endormi pour libérer le monstre qui sommeille en lui.
Puis, il s’aventure sur ma nuque à qui, il réserve le même sort. À nouveau, je suis victime de baisers violents et de morsures importantes.

-N-Non ! Lâche-moi ! Ordonné-je.

Je lui donne un coup avec mes jambes dans le corps mais cela ne l’arrête pas pour autant. Au contraire, il fait preuve de rage et arrache mon haut d'une simple poigne. Quand il pose ses yeux sur ma peau, je rougis et tremble. Quelques morceaux de tissu me cache encore de son regard mais sa main glisse sur ma poitrine pour pincer l'un de mes tétons avec force. Plus qu’une caresse, c'est une véritable torture qu'il m'afflige. Il tire sur ma chair violemment entre ses doigts et par moment, je crois qu'il déchire ma peau tant la retenue ne fait plus partie de lui. Je le supplie à mainte reprise, pleure et me débats en faisant bouger mes jambes dans tous les sens, mais rien n'y fait. Ridzac ne bouge pas, au contraire. Il se fait plus oppressant que jamais en venant m’écraser sous son torse, ventre contre ventre.

-Pitié, pas ça… Ridzac.

Il ne me reconnait plus. Ma voix et mes suppliques n’atteignent pas ses oreilles et son esprit. Je suis à sa merci. C'est ma punition pour ne pas avoir pris le soin de remarquer Ridzac quand j'ai compris notre lien. J’ai ignoré mon âme sœur qui se retrouve à présent prisonnière d’elle-même. Mais je profite d'une ouverture pour lui mettre mon pied à la figure et me relever pour tenter une nouvelle fois de m'extirper de son étreinte. Je monte les marches en haletant, les mains sur mon torse pour cacher les dégâts avec le restant de mon haut. Mais mes jambes ne parviennent pas à atteindre le sommet, rattrapées par un Ridzac qui se jette littéralement sur moi pour me dévorer. À nouveau, je tombe dans les escaliers, mais cette fois-ci, mon front percute violemment une marche. Je suis assommé et plus facilement malléable dans ses mains. Le loup blanc se débarrasse des derniers tissu sur mon torse avant de mordre la peau de mon dos violemment, me faisant hurler de peur et de douleur. Je souffre le martyr et réalise à quel point Ridzac a mal…

Encore plus que moi.

Son instinct de bête le submerge, incapable de penser rationnellement il ne réagit que pour satisfaire son désir. Il ne se rend pas compte du viol qu'il s’apprête à commettre.

LOÏCK ET LE LOUP BLANCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant