Chapitre 28

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Nous avons quittés le château, je le suis à la traîne, j'appréhende ses explications. Quelle serai la raison pour laquelle il aurai négligé une partie de son peuple ?

Nous arrivons dans....Un cimetière ? Je ne savais pas qu'il y en avait un non loin du château.

- Nous sommes dans le cimetière royal, c'est ici que sont enterrés mes ancêtres et mes parents.

Nous nous arrêtons devant une tombe, il est écrit en arabe :

Gloire à notre fondateur Djallil.

- Il y a longtemps, après s'être fait attaqué, un pays, un royaume entier ainsi que son peuple s'est fait exterminé.

Ce début, j'ai l'impression que...

- Bien heureusement survécu trois individus, un homme et deux jeune femmes. Elles étaient tous deux d'une beauté sans nom, l'homme qui les accompagnés était tombé fou amoureux d'une des femmes à son plus grands bonheur son amour était partagé, au plus grand regret de l'autre femme qui elle aussi éprouvée des sentiments pour l'homme. Un jour elle empoisonna sa rivale et fit passé son crime pour une insolation. Après tout, tous les symptômes répondit présents : Vomissements, douleurs musculaire étourdissements voire même évanouissement.

Cette histoire je me demande s'il a un rapport aux livres que j'ai lu il y a quelques jours dans la bibliothèque.

- Alors que l'homme comment ça à perdre espoir, une vieille femme se présenta, elle se disait être guérisseuse. Il ne l'a cru pas mais il pensa qui ne tente rien n'a rien et dans les deux cas sa bien aimée été condamnée. La sorcière aida la femme au grand désespoir de la femme malveillante. Quelques jours plus tard l'état de la femme s'était amélioré avec l'aide de la sorcière ils avaient pu trouvés un oasis pour établir un campement. Des jours voire des mois passa, le petit campement s'était métamorphosé en camp de refuge, elle réfugiait des gens qui eux aussi avait vu leur pays sombrer puis dépérir ou bien des gens fuyant la famine de leurs pays.

Je ne comprends toujours pas pourquoi il me raconte tout ça, il y aurai un rapport avec le quartier Sud ? Je ne dis rien, je reste silencieuse tout en écoutant attentivement son histoire.

- Des années passèrent et le camp de refuge était devenu un pays.

Quoi !? Malgré ce que j'ai pensée je ne pu m'empêcher de l'interrompre.

- Quoi ? Attends, et qu'est-ce qui s'est passée entre les deux femmes et l'homme ?

- Tu m'interrompts pour ça !?

Bah oui...Je me demande juste s'il ont fini ensemble, je suis curieuse ! En plus l'histoire est vraiment inintéressante.

Il soupire.

- Si tu me laissais terminer tu en saurai plus alors tais-toi.

Je marmonne tout doucement.

- Bouffon.

- Quoi ?

- J'ai dit breffons du verbe bref.

( Ce verbe n'existe pas pour info )

- Bien rattrapé. Comme je le disais, des années passèrent et le camp de refuge était devenu un pays. Le pays n'ayant pas encore de souverains les habitants clama l'homme qui leur avait recueillie, leur sauveur.

- Attends,

Il s'arrête agacé.

- Quoi encore !?

- Donne leurs des noms je sais pas moi, « l'homme » par ici « l'homme » par là je m'y perds à force.

- C'est le seul que j'ai cité pour l'instant.

Rencontre dans le désert Où les histoires vivent. Découvrez maintenant