[One Piece] The Bullied Girl [TERMINEE]

Chapitre bonus : Effondrement

NDA: Enjoy ;) 

Il n'y aura pas de note de fin de chapitre cette fois-ci; je suis trop à plat pour essayer d'aligner deux phrases correctement, mais je tenais quand même à vous dire un grand merci !! 

Sur ce, plein de bisous, courage pour celles et ceux qui seraient le nez dans les bouquins pour réviser (je pense fort à vous, je suis dans la même galère même si je n'ai pas mon bac à passer à la fin de l'année ^^)

Evy~

PS: Ah oui, ce chapitre a une forme un peu différente alors n'hésitez pas à me faire des retours dessus car je pense garder la même pour les chapitres bonus, ça les distinguera des autres mais je préfère quand même avoir des remarques de votre part avant de le systématiser 😊

PPS: pour avoir le deuxième média, il n'y a qu'à cliquer sur la flèche qui s'affiche à droite de la vidéo ^^

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"In spite of how the world decides to see my life 

(Quelque soit la façon dont le monde perçoit mon existence)

Would I still have a chance for us to say good bye 

(Aurais-je au moins cette chance de nous dire au revoir)

Over and over again 

(Encore et encore)

 If I decide to burn instead of fading out 

(Si je décide de m'embraser plutôt que de disparaître)

 I still would like the chance for us to say good bye 

(J'aimerais quand même avoir cette chance de nous dire au revoir)

 Over and over again"

(Encore et encore)

- Ending de BANANA FISH composé et joué par Survive Said The Prophet, titre original : RED -

Deux ans plus tôt, Royaume de Goa.

Il y a bien des choses que les maisons bourgeoises de la Ville Haute renferment : des tragédies par exemple. C'était le cas pour la famille Kimiko qui depuis une semaine se déchirait après qu'un premier drame vint les affecter. En une belle fin d'après-midi de Décembre, les cris résonnaient jusqu'à l'extérieur des murs de la maison de briques, faisant trembler les pierres jusqu'aux fondations.

L'ainé de la famille, âgé de seize ans, se confrontait violemment à un épineux problème en la personne d'Alicia, sa mère, qui l'abreuvait de reproches depuis l'enterrement de son cadet.

_ Je veux que tu t'en ailles. Ne reviens plus jamais ici ! Estime-toi heureux de ne pas être en prison pour ce que tu as fait ! Tu devrais subir la condamnation à mort !

Les murs tremblent. Le temps s'étire avant de se figer dans une sorte d'horreur. C'est insupportable à entendre, insupportable à expliquer. L'adolescent tremble sous l'effroi et la colère qui l'assaillent alors que sa génitrice le fusille du regard, ses deux mains agrippées à ses épaules, les ongles presque plantés dans sa chair comme les serres d'un aigle autour de sa proie. Il la scrute d'un air béat tandis que les iris d'un gris orageux le lorgnent avec haine. Il n'arrive pas à y croire, il ne veut pas y croire... Comment sa propre mère pouvait-elle lui dire cela ? L'accusatrice ne le voyant pas réagir poursuit sur sa lancée, incisive, elle sait parfaitement là où le bât blesse alors elle se déchaine. Le garçon se reprend quand elle s'attaque à son point faible et ne tarde pas à se défendre :