On ne m'avait pas prévenu. Personne ne m'avait expliqué ce que c'était. J'avais une mince opinion sur l'idée. J'avais déjà entendu des gens parler de ça et j'avais déjà prétendu savoir ce que c'était. Mais tout changea ce jour-là.
Ce fut dans le mé...
Emmitouflé dans mon plaid, seul mes pieds dépassaient. J'essayais de zapper maintes fois, cherchant désespérément mon drama. La chaine trouvé, je pris mon ramen instantané posé devant moi et commençai-je à manger. Il fallait absolument que je réfléchisse à autre chose qu'à lui. Mon petit ami m'avait averti par le biais du portable de l'un de ses meilleurs amis que son agence l'avais puni pour avoir fauté a ses responsabilités. Privé de portable et de sorties, je ne savais pas quand j'allais revoir mon petit copain.
Un bruit assourdissant me retira de ma rêverie, et je lâchais mes baguettes par la même occasion.
«- Nam ?»
Sur mon balcon, vêtue de noir mon petit-ami tapais contre la vitre de mon salon, me fessant signe d'ouvrir la fenêtre.
Je l'ouvris rapidement et laissa mon copain pénètrer dans mon appartement.
«- Ils me suive. Je n'avais pas le droit de venir. Ils ont mis des gardes devant chez toi, me fit savoir Namjoon en secouant son bonnet, où les premiers flocons de neige y reposaient. – C'est pour ça que j'ai dû passer par l'escalier de service.» il se déchaussa.
«- Tu es sérieux ?» m'exclamais-je en essayant de visualiser les hommes en bas de chez moi, sidéré que l'agence me surveille moi aussi.
«- Non. »
Et il rigola. Rigola a gorge déployé, et ça fessait tellement du bien. En quelques instants mon salon se réchauffa sous ses éclats de rire.
«- Je voulais juste être un peu romantique. » il avoua entre ses rires.
Il était beau et insouciant, et j'étais folle de lui. J'avais de la chance de l'avoir dans ma vie. Cet homme aux yeux de braise qui réconforte tout cœur brisés. Ses petites fossettes enjôleuses qui creusent ses joues. Les traits fin de son visage dans lesquels j'aimais plongés, et qui m'attirait irrévocablement. Et puis comme il s'y il était un mirage je levai ma main et caressa la peau hâlé de l'homme qui avait illuminé ma vie.
Il était beau. Digne d'un demi-dieu.
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