Un Amor Eterno ¡BELLA CIAO! (TOME 3) {Serquel & Berlobi}

Chapitre 55

{point de vue Mario}

FLASHBACK.

Cela fait un 6 mois que Alberto est emprisonné dans notre chère petite prison. Son état n'est pas joli à voir, on s'est tous acharnés sur lui. Nous n'attendons qu'une chose : qu'il balance où se trouve Sergio Marquina.
Mais il n'a pas l'air de vouloir.
Je suis assis entre Denver et Martin nous regardons Andrés se charger d'Alberto.

Andrés : « Ils le gardent où ? »

Alberto : « Qui garde qui? »

Andrés : « Ne te fous pas de ma gueule sale enfoiré! »
Dit-il en frappant Alberto.

Alberto rigole.

Andrés : « Mon frère. Sergio Marquina. Où est-ce que t'es chers copains andorrans gardent mon frère ?! »

Alberto : « Je ne sais pas. J'en sais rien. »

Andrés voit une nouvelle fois rouge et le frappe encore.

Andrés : «  NE MENS PAS. »

Alberto : « Je ne te mens pas, ils ne m'ont rien dit. Seul Arturo Roman sait où il est. »

Andrés : « Arturo Roman? »

Alberto : « Oui. Il est avec les andorrans. Depuis plus longtemps que moi. C'est lui qui a eu l'idée de prendre en otage Marquina. Il m'a appelé et m'a dit le plan et si je voulais en faire partie. J'ai accepté d'en faire, mais ils ont refusé de me dire où ils allaient le planquer... mais je l'a déjà vu dans une vieille cellule au tout début de sa sortie de l'hôpital... mais après ils l'ont changés d'endroit et ils ne m'ont pas pas dit où il était. Et maintenant quand ils le font travailler. C'est tout... je t'ai tout dit. »

Andrés se tourne face à nous. Je me lève et m'approche d'Alberto.

Moi : « Et dis moi... ils le font travaillé où ? »

Alberto : « Dans les champs et chez certains andorrans... »

Martin : « Tu mens. »

Alberto : « Non. »

Andrés : « Oh si tu mens. »

Martin : « Et on va te dire pourquoi. Nous avons été en éclaireur dans les environs de leur village. Jamais nous avons vus Sergio travaillés. »

Alberto : « Si vous vous êtes contentés des environs de leur village, c'est normal. Il se trouve plus loin. Je ne sais plus le nom exact du village. Laissez-moi un peu de temps. »

Andrés : « Réfléchis vite. Nous n'avons pas ton temps fils de pute. »

FIN FLASHBACK.
Aujourd'hui nous sommes avec Alberto mais il ne veut toujours rien dire. Cette fois, c'est Bogota qui s'y colle pour lui mettre des baffes.

{point de vue Rafael}

Rafael : « Bon tu l'as lis la lettre ? »

Esteban : « Attends! J'essaye de bien lire dans ma tête le premier mot. »

La porte s'ouvre c'est Paolo, le fils du maire, et celui que nous ne supportons pas, ou plus du moins.

Moi : « tu arrives les mains vides. T'es le seul tu sais? »

Cincinnati : « Ouais! On a tous ramenés à manger ! »

Axel : « Et à boire ! »

Paolo : « Oui mais... mon père ne voulait pas me donner des trucs... ni m'en acheter... désolé.. »

Rafael : « Tu n'avais  qu'à en voler ! »

Paolo : « T'es fou? Si mon père me vois faire ça, je suis mort! »

Pedro : « Moi aussi si mon père il sait que je lui ai volé tout ça il me tue ! Et pourtant je l'ai fais quand même! »

Axel : « Et t'es pas seulement radin, tu ne viens pas lors des batailles contre les andorrans! »

Cincinnati : « Tiens c'est vrai ça ! »

Moi : « C'est pas con. C'est vrai qu'on te vois pas souvent! Espèce de lâche ! »

Esteban : « OUAIS ESPÈCE DE LÂCHE ! »

{point de vue Paula}

Tout les garçons hurlent à Paolo qu'il est lâche.

Paolo : « Puis d'abord c'est n'importe quoi votre guerre, n'importe quoi! »

Rafael : « Alors qu'est-ce que tu fous là?! CASSES-TOI! »
Dit-il en le poussant.

Cincinnati : « CASSES TOI! »

Axel : « VAS T'EN! »

Les garçons lui hurlent de partir.

Esteban : « je t'aime plus! »

Je tape le derrière de la tête de mon frère.

Esteban : « Qu'est-ce qu'il y'a ? »

Moi : « Arrête de faire le méchant comme ça! »

Esteban me tire la langue et continue de faire le malin avec les autres. Je soupire.
Paolo s'en va en pleurant.

Rafael : « Ça fait longtemps qu'on aurait dû faire ça. »

Cincinnati : « exactement. »
_______________________
Que pensez-vous de ce chapitre ? Mario? Andrés ? Martin ? Alberto ? Esteban? Paula ? Rafael ? Paolo?