Chapitre 58

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{point de vue Rafael}

Nous avons attrapés une planche en bois et nous avons écris « sale traitre »
Nous l'attachons dans le dos de Paolo tout en lui attachant les poignets dans le dos aussi.

Moi : « Aller! Dégages ! »
Dis-je en le poussant.

Nous le suivons, il va jusqu'au village tout en pleurnichant et criant à l'aide à son père.

Nous nous arrêtons quand nous voyons son père arrivé vers lui suivit de mon père, Mario, Denver, Bogota, Martin et tous les autres

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Nous nous arrêtons quand nous voyons son père arrivé vers lui suivit de mon père, Mario, Denver, Bogota, Martin et tous les autres.

Cincinnati : « Ouh... on ferais mieux de partir! »

Moi : « Ta gueule. »

Justino ( père Paolo) : « Mais... Paolo! Qui t'as fais ça ?! »

Andrés : « Attends viens je vais t'enlever ça ! »

Justino : « Qui t'as fais ça ?! »

Paolo : « les autres ! Surtout Rafael de Fonollossa ! »

Justino : « Mais ça va pas ils sont complètement fous ! »

Mon père coupe la corde.

Justino : « Vas pas me le couper toi avec ton couteau! »

Andrés : « Je sais m'en servir monsieur le maire. »

Justino : « Vos gosses vont payer la note!Je veux des punitions exemplaire ! A commencer par le tien Andrés! Il est complètement fou ton gosse! »

Andrés : « N'en faites pas trop monsieur le maire ! Il n'était pas tout seul! Et c'est peut-être un avant goût de ce qui t'attends ! Hein? Après tout, tout le monde sait que tu collabores avec ces putains d'andorrans! Et tu sais ce qu'ils vont faire à mon frère ! Manque de pot pour toi, un de leur bande à parler ! »

Justino : « Fumier va! J'ai qu'un mot à dire, je vais t'envoyer le rejoindre à ton frère ! Tu vas crever! »

Andrés : « Je te laisse pas longtemps à vivre si tu joues à ça ! »

{point de vue Andrés}

Quel fumier ce maire.

Justino : « M'enfin pour ton gosse tu vas pas fermer les yeux! »

Moi : « T'en fais pas son sort est déjà réglé ! »
Dis-je en me tournant face à Rafael et les autres.

Moi : « RAFAEL! Viens ici! DÉPÊCHES TOI! »
Dis-je en courant vers lui.

Celui-ci ne bouge pas, il me regarde mais ne bouge pas.

Moi : « VIENS ICI J'TE DIS! »

Rafael : « FOUS MOI LA PAIX! »
Dit-il en partant en courant.

Denver arrive en courant et attrape son fils, il lui met une gifle.

Denver : « et toi?! Ça ne va pas non de faire ça ?! Surtout en ce moment?! Tu es punis! Plus de sorties ! »

Mario attrape le bras de son fils et le tire jusqu'à chez Lui. Les autres pères font de même avec leurs fils. J'attrape Esteban, Paula et Axel puis les ramène.
Je rentre et explique tout à Raquel et Nairobi. Nous donnes rendez-vous à Denver, Monica et leur fils ainsi que Mario et son fils chez Raquel.

Raquel se lève et regarde les gosses qui sont tous assis, punit.

Raquel : « Vous devriez avoir honte. Toute sa vie Paolo se souviendra de ce que vous lui avez fait subir. Est-ce que Sergio et chacun d'entre nous ne vous avions pas demander de vous respectez ? De vous entraidez ? Au lieu de ça vous vous comportez comme des tortionnaires? »

Cincinnati: « Ben... il nous a trahit.. »

Raquel : « Un traître on le juge. Il a le droit de se défendre. Mais on le torture pas! »
Dit-elle en regardant son fils.

Mario : « Raquel a raison. Je ne sais pas ce qui vous a pris de faire ça ! Et toi Rúben, tu es interdis de sorties jusqu'à nouvel ordre. Tes seules sorties seront pour aller à l'école ou chez Raquel. C'est tout. »

Rúben : « Mais... »

Mario : « Il n'y a pas de mais qui tienne ! »

Esteban : « À cause de lui la lettre de papa elle a brûlée ! »

Raquel : « Pardon?! »

Esteban : « Ben... je voulais revenir dans la cabane mais Rúben m'a tenu pour pas que j'y aille! Et la lettre a brûlée ... »

Raquel : « C'est une blague ?! »

Paula : « Non... »

Raquel : « Vous êtes punis de sorties. Tous les deux. »

Moi : « quelle lettre ? »

Raquel : « Sergio a réussit à leur envoyer une lettre... »

Rafael : « Tu comprends mieux non papa pourquoi on lui a fais payé à ce connard de Paolo?! »

Je le gifle.

Moi : « Tais-toi. Tu en as assez fais pour aujourd'hui. À cause de toi, le plan pour libérer Sergio et mettre fin à cette guerre s'est envolé. »

Raquel, Monica et Nairobi me regardent.

Toutes les trois : « Quel plan? »

Moi : « vous n'avez pas à le savoir. »

Nairobi : « Andrés commences pas. »

Moi : « Aller rentrons à la maison. Mía, Hugo, Axel, Rafael vous dites au revoir on y va. »

Nous partons, Nairobi me suit, en n'arrêtant pas de me demander quel est notre plan. Elle n'en saura rien.
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Un Amor Eterno ¡BELLA CIAO! (TOME 3) {Serquel & Berlobi} Où les histoires vivent. Découvrez maintenant