Un Amor Eterno ¡BELLA CIAO! (TOME 3) {Serquel & Berlobi}

Chapitre 60

{point de vue Raquel}

Je donne le déjeuner à Paula et Esteban avant qu'ils partent  à l'école.
Paula lit son livre en déjeunant tandis qu'Esteban lui, garde la tête baissée depuis hier, même quand on lui parle.

Moi : « Esteban. Déjeunes s'il te plaît. »

Esteban : « J'ai pas faim. Et je veux pas aller à l'école. »

Moi : « Tu manges. Et tu vas à l'école. Surtout après ce que tu as fais hier. »

Esteban : « J'ai rien fais, c'est Paolo et les andorrans! »

Moi : « tu n'avais pas a emmené la lettre. Cette lettre de papa était uniquement pour toi, Paula et les jumeaux. Tu as trahis ma confiance en me disant que tu t'amusais seulement avec tes copains le mercredi après-midi alors qu'en réalité, tu joues à la guerre contre les enfants du village andorran! Toutes tes blessures que tu as eus, les vêtements et chaussures cassés à cause de vos jeux débiles ! Tu crois que si papa savait tout ça il serait fier de toi? »

Esteban : « Sauf qu'il est pas là ! »
Dit-il en partant en courant dehors.

Moi : « Esteban! »

Je le rattrape.

Moi : « Files dans ta chambre ! Tu as gagné tu ne vas pas à l'école. Mais tu as perdu aussi car tu resteras enfermé dans ta chambre à faire des devoirs que je vais moi-même te donner! Files. »

Paula soupire.

Paula : « C'est vraiment un idiot. »

Moi : « Paula s'il te plaît. »

Elle se lève, prend  son cartable, dépose un bisou sur ma joue et s'en va.

Moi : « Fais attention sur la route. »

{point de vue Nairobi}

Je fais le repas du midi pendant que Mía joue avec Hugo.

Mía : « Maman regardes qu'est-ce qu'il fait Hugo! »

Je tourne la tête et vois Hugo manger les croquettes du chat. Je cours vers lui et l'attrape dans mes bras.

Moi : « NON! HUGO! On ne mange pas les croquettes du chat! Ça va pas non? »

La porte s'ouvre, Andrés est là.

Moi : « T'étais où?! »

Andrés : « Chez Martin. »

Moi : « tiens cadeau! »
Dis-je en lui donnant Hugo.

Moi : « Je dois faire à manger et monsieur Hugo fait n'importe quoi. Je peux pas le surveiller et faire à manger. Alors tu vas gentiment t'occuper de lui un peu car en ce moment tu oublies que tu as des enfants. »

Andrés : « C'est bon? T'as finis de me reprocher toujours tout?! Contrairement à toi je me travaille ! »

Moi : « Pardon?! »

Andrés : « Non... rien laisses... pardonnes-moi.. »

Hugo lui joue avec les cheveux de son père.

Andrés : « Attends deux secondes fiston. »
Dit-il en posant Hugo au sol.

Andrés s'approche de moi et me prends dans ses bras et embrasse mon cou.

Andrés : « Je ne voulais pas dire ça... je... je suis désolé. »

Je caresse sa joue, nos fronts sont collés l'un contre l'autre.

Andrés : « je t'aime. »

Moi : « Moi aussi »

Andrés se recule puis s'assoit au sol pour jouer avec les petits. Je continue à faire à manger.

Andrés : « Tonton Sergio  sera bientôt là. »

Mía : « Tonton Sergio! »

Malgré son jeune âge quand Sergio est partis, Mía se rappelle très bien de son oncle. Hugo lui, n'était même pas né.

Andrés : « regardes Hugo, c'est lui tonton Sergio. »
Dit-il en attrapant le cadre photo dans laquelle se trouve Andrés et Sergio.

Hugo : « Ton...ton..? »

Andrés : « C'est mon petit frère. Ton tonton. »

Je souris tendrement, puis me re-concentre sur ce qu'à dit Andrés « tonton Sergio sera bientôt là. »

Moi : « Andrés? Comment ça ton frère sera bientôt là? »

Andrés : « Ne t'en fais pas mon amour. »

Moi : « Andrés. »

Andrés : « Tu verras bien. »

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