Un Amor Eterno ¡BELLA CIAO! (TOME 3) {Serquel & Berlobi}

Chapitre 71

{point de vue Sergio}

Nous sommes chez nous, pour le repas. Je change les habits de Juan et Esmeralda tandis que Esteban se change tout seul. Paula elle, voulait rester habillée comme sa mère.
Une fois les enfants changés, je rejoins tout le monde. Raquel danse dans les bras de Marseille, je souris, elle est tellement belle. Je regarde ma main et plus particulièrement, mon alliance.
Andrés arrive à mes côtés.

Andrés : « Qu'est-ce qu'il y a? T'as l'air pensif? »

Moi : « Y a rien... je me dis juste que... que j'ai de la chance de m'être marié avec cette femme. »

Andrés : « Hmm... pourquoi c'est Marseille qui danse avec ta femme et pas toi? »

Moi : « Je suis parti pour changer les jumeaux et Esteban puis... elle a le droit de danser avec qui elle veut... je ne vais pas lui interdire... elle s'amuse, elle est heureuse. C'est le principal! »

Andrés : « Hmm... j'aimerais être comme toi parfois... Nairobi est à moi et rien qu'à moi. Elle ne doit danser qu'avec moi. »

Moi : « Nairobi ne te laisse pas lui marcher dessus et fait ce qu'elle veut ! »

Andrés me regarde droit dans les yeux puis esquive ce que je viens de lui dire. Nairobi est bien la première personne qui a le dessus sur mon frère et en plus, c'est une fille ! Miracle. Raquel me sort de mes pensées.

Raquel : « Mon amour... »
Dit-elle en se blottissant dans mes bras.

Andrés nous laisse seuls, je colle mon front contre celui de Raquel, nous nous regardons droit dans les yeux en souriant.

Raquel : « Plus stressé maintenant n'est-ce pas ? »

Moi : « Euh... oui bien sûr.. »
Dis-je avant de l'embrasser.

Je suis encore stressé... les autres m'ont forcés à ce que je lui lise la lettre que j'ai écrite que je voulais simplement lui donner...

Moi : « et toi..? Plus stressée? »

Raquel : « Non! Tout va bien. Et puis... je suis dans tes bras ça peut que aller. »

Moi : « Raquel Marquina... »
Dis-je en souriant fièrement.

Raquel : « Oui... »

Après le repas, vient le dessert, puis nous partons danser, s'amuser. Je danse avec Raquel, je l'embrasse aussi. Puis quelqu'un tire sur ma chemise. Je regarde : Esmeralda.
Je me baisse à sa taille.

Moi : « Oui ma puce ? »

Esmeralda : « Veux papa porter moi! »

Je souris et la prends dans mes bras, je danse avec Raquel tout en portant notre fille, pas très facile tout de même mais c'est quand même un grand bonheur.

Andrés et les autres arrivent.

Martin : « Tu n'aurais pas oublié un truc Sergio? »

Moi : « Non... »
Dis-je même si je sais qu'il parle de la lettre.

Bogota : « Hmm... dépêche toi d'aller prendre le micro du DJ. Et donnes moi ta petite puce ! »
Dit-il en prenant Esmeralda dans ses bras.

Raquel : « Que se passe-t-il? »

Denver : « Alors toi tu vas immédiatement t'asseoir sur la chaise là-bas. »

Andrés : « aller viens Sergio je t'accompagnes jusqu'au DJ. »

Nous partons, une fois éloignés, il me demande si j'ai bien la lettre, je lui répond que oui.

Andrés : « Monsieur l'DJ puis-je vous emprunter le micro? »

DJ : « Oui, bien sûr ! »
Dit-il en donnant le micro à mon frère.

Andrés : « Hmm... messieurs dames, pourrai-je avoir votre intention s'il vous plaît. »

Un silence règne dans la salle.

Andrés : « Tout d'abord, félicitations à nos deux mariés. Bref, Sergio Marquina, le marié, aurait quelque chose à dire à sa dulcinée, Raquel Murillo devenue ce jour, Raquel Marquina. À toi frangin. »
Dit-il en me donnant le micro.

Je tremblote, j'ai peur, Andrés s'en va, je déplie la lettre.

{point de vue Raquel}

Je suis assise sur la chaise face à Sergio qui tremble de partout. Je ne sais pas ce qu'il se passe mais je commence à stresser moi aussi, bref.

Sergio : « Raquel... je... je voulais te dire que.. que tu es mon premier amour... j'ai eu d'autres conquêtes mais... tu es la seule que j'ai vraiment aimé et que j'aime encore et que j'aimerai toujours. Tu as rendue ma vie plus belle, avec toi j'ai goûté au bonheur d'aimé et d'être aimé, et surtout j'ai eu la chance d'être papa. Avant toi, me marier n'était pas dans mon plan, avoir des enfants encore moins. J'avais peur d'être père, je ne voulais pas. Je me disais qu'avoir des enfants fout une vie entière en l'air, mais non, ça la rend plus belle, plus cool. Je veux juste te dire merci pour tout et... et je t'aime tellement .. mon amour. »

Je ne peux pas m'empêcher de verser quelques larmes. Tout le monde applaudi Sergio, je me lève et le rejoins, je me blottis dans ses bras et caresse ses beaux cheveux. Lui, me caresse le dos d'une douceur... Nous nous regardons ensuite droit dans les yeux, avant de scellé nos lèvres.

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Que pensez-vous de ce chapitre? Sergio? Raquel ? Andrés ? Le petit discours de Sergio?