The Rogue.

Q U A R A N T E - E T - U N

Bonne année 2015 !

C'est aussi bientôt les "un ans" de The Rogue et je voulais que vous me donniez des idées pour fêter ça dignement ! En attendant, si de bonnes âmes charitables trouvent des idées, je publie le chapitre 42 dans quelques secondes, je viens de finir de le rédiger ! ❤

Dans ce chapitre, aucune action majeure, juste beaucoup de dialogues et d'elispses temporelles (désoleyy :3)

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¤ Multimédia : Louis William Tomlinson à la sortie se l'avion ¤
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- Éli, reveille-toi, j'entends vaguement une voix éraillée et légèrement éféminée m'appeler.

Je me relève brusquement quand les souvenirs surgissent à nouveau dans ma mémoire, et quand j'en conclue que c'est Louis qui m'appelle depuis le début.

- Hey, souris-je avant de bailler

- Ça fait quatre heures que tu dors Éli, me sermone-t-il mais je sais qu'il ne m'en tiens pas rigueur.

- Et alors ? Je me frotte les paupières en évitant tout contact avec mes cils par peur de faire baver mon mascara.

- Et j'ai des fourmies dans l'épaule. Ta tête est vraiment lourde.

- Hé, je calque sa cuisse et il s'empare immédiatement de mon avant-bras.

- C'était quoi ça ? Son sourcil gauche se courbe et il a un léger sourire en coin qui le rend terriblement charmeur.

- Tu es celui qui as commencé ! Je tente de me débattre mais Louis profite de mes mouvements maladroits pour emprisonner mon second poignet.

- En parlant de "commencement", Louis lâche mes bras et je viens masser mes poignets douloureux, qu'as tu pensé de la petite douche de ce matin ? Exaltant n'est-ce pas ?

A peine les mots prononcés, je suis déjà rouge de honte. Je suis à la fois extrêmement embarrassée qu'il remette le sujet sur la table et gênée parce que j'ai trouvé ça divin.

- J'attends une réponse, chuchote-t-il à mon oreille, lui valant un énorme sursaut de ma part.

Il saisit une mèche de ma crinière brune puis l'enroule autour de son index pour la boucler grossièrement. Il la place ensuite derrière mon oreille et ses doigts glissent le long de ma mâchoire, puis le long de mon épaule, et enfin sur ma poitrine. Mes yeux ne quittent pas ses mains expérimentées et délicieuses contre ma peau en feu. Je bouge inconfortablement mais il ne semble pas s'en soucier : ou plutôt Journal, il s'en soucie et c'est l'effet recherché.

- Je perds patience, il s'approche dangereusement de moi, ses doigts exerçant toujours de légères pressions sur mes seins, puis susure à mon oreille, son nez contre mon lobe : mon amour.

Il a déjà utilisé cette expression mais jamais avec tant de sensualité. Mon estomac fait des bonds depuis que j'ai quasiment sentie les mots rouler dans son torse avant d'être expiré dans un souffle.

Ses mains tombent désormais sur mes cuisses que je presse ensemble immédiatement, une chaleur exquise s'installant dans mon bas-ventre.

- Louis, nous sommes dans un avion. S'il te plait, contrôle-toi, le suppliais-je n'osant toujours pas croiser son regard.

Ce Louis est intimidant Journal. Même si je ne le regarde pas, je sais que ses yeux sont plus sombres que d'habitude, que son coeur bat plus vite, que sa bouche est sèche. Ce Louis est incontrôlable : ses actions sont guidées par sa propre excitation, ses désirs les plus intenses et ses songes les plus obscènes. Mais ce Louis est terriblement attrayant et me plait de plus en plus. J'aime cette idée de défi quand il est comme ça, j'aime prendre des risques en ignorant ses question et je jubile intérieurement quand j'arrive à rester passive alors qu'il me touche lentement, frustré de n'obtenir aucune réaction.