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𝐎 𝐔 𝐒 𝐍 𝐀
B Y
كينغكارابا
𝐕𝐨𝐭𝐞𝐳 & 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭𝐞𝐳
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Je me précipite dans le jardin et je voit Ousna convulser bizarrement sur le sol, Adama se dirige vers elle et commence à la maintenir, je le rejoint et m'abaisse vers Ousna.
Fouad - Elle à été victime de sorcellerie si Adama ne m'aurait pas dit le problème qu'il se passait ici je pense qu'elle serait déjà plus de ce monde.
Dit L'imam
- Mon Dieu !
Dis-je
Fouad - Quand on la voit on se dit juste qu'elle parle toute seule mais. La folie l'à pris elle ne discerne plus rien. Elle ne voit plus rien. C'est un maléfice très très fort. Mes collègues arrivent pour m'aider à le retirer.
- Comment sa elle ne voit plus rien ?
Dis-je paniquée
Fouad - Elle ne voit plus rien vous êtes en face d'elle mais elle ne vous voit pas elle est devenue aveugle à cause de ce sort. Elle voit des choses qu'on peut pas voir.
- Mais elle circulait dans la maison !
Fouad - L'esprit en elle circulait !
Fouad se lève et entre dans la maison pour chasser les esprits et voir d'où vient la sorcellerie. Histoire d'avancer un peu avant l'arrivée de ses collègues..
Adama - De la sorcellerie ?
Dit Adama en regardant sa sœur dans ses bras,
{...}
Les collègues de Fouad arrivent en moins de 10 min nous nous saluons, deux de ses collègues partent aider Fouad à trouver le maléfice et les 3 autres partent voir Ousna.
Je suis l'équipe de Fouad qui inspecte tout le salon, le jardin, la cuisine, le sous sol, le garage, la chambre d'Ousna mais rien.
Ils partent à l'étage où il commence à inspecter toutes les chambres quand l'un d'eux s'écrit dans la chambre de Malick.
Je m'en vais rapidement dans la chambre et voit une bouteille dans la main ganté de Samir avec la photo d'Ousna et la mienne dessus.
Je m'écroule au sol choquée, Samir le collègue de Foued s'approche de moi avec les autres qui nous rejoignent il se mettent à réciter des sourates et je commence à me sentir bizarre, ma tête commence à me faire atrocement mal je sens mes yeux convulser.
Je m'appuie au mur en regardant la scène je veux savoir. il renverse le liquide noir et en sort une feuille pliée en quatre, Samir déplie la feuille toujours en récitant une sourate avec ses confrères.
Quand j'ai une pointe au cœur très désagréable, je me colle d'avantage au mur en criant de plus belle je voit Ibtissem arriver en trombe vers moi et me secouer en regardant la scène. Soudain mon corps n'est plus maître de lui même. Je perds toute notion, je me sens gigoter dans tout les sens.
