𝙼𝚘𝚘𝚗𝚕𝚒𝚐𝚑𝚝 ʰʸᵘⁿˡⁱˣ [𝘙𝘦𝘦𝘤𝘳𝘪𝘵𝘶𝘳𝘦]

7.1

FELIX

Le blond regardait ce magnifique loup blanc, entre l'impressionnement et l'angoisse. Il observait les yeux azur de la bête, faisant clairement comprendre son intention.

Il avança doucement face au blond, du bout de son museaux il poussa un peu le torse de l'humain puis, il se baissa jusqu'à s'allonger sur le sol. D'un mouvement de tête il montra son propre dos.

« Felix... me dis pas que-.., mais seul un grognement sourd lui répondit, je vais pas monter sur ton dos !, le loup montra ses crocs afin que Hyunjin arrête de faire sa tapette, heheh demander comme ça comment je peux refuser, hein ?, dit-il dans un rire nerveux. »

Il contourna la bête, il regarda son dos légèrement anxieux. Connaissant Felix il allait tous faire pour effrayer Hyunjin, il soupira. Finalement il n'en avait que faire des conséquences, il voulait profiter.

Il enjamba difficilement le loup, il se posa dessus sans vraiment laisser tous son poids reposer. Soudain, Felix se leva. Hyunjin lâcha un cri des plus ridicules et s'accrocha à la fourrures du loup.

Il regarda le sol, ses pieds ne le touchaient plus, il respira un bout coup. Même si Felix était taquin et joueur il ne voulait faire faire une crise cardiaque au pauvre Hyunjin.

Hyunjin donna le top départ.

Et d'un coup ils démarrèrent.

Le vent qui l'entourait donnait l'impression de voller à l'humain. Félix courait à une allure folle mais tellement grisante.

Les cris de Hyunjin.

Le grognement de Felix.

La vitesse, toujours plus de vitesse.

Les paysages défilant à vive allure.

Il s'arrêta au bord d'une falaise d'une vingtaine de mètre de hauteur, laissant voire un immense lac en dessous.

Felix laissa un profond et long hurlement typique des loups sortirent du plus profond de ses entrailles. Hyunjin suivit le mouvement toujours sur le dos de la bête et hurla à son tour.

Deux cris différant, animal et humain mais qui laissait pour autant entendre le même message résonnant comme dans une immense vallée.

La liberté d'être ensemble et d'emmerder le monde !

Il continuèrent a courirent ensemble et séparément, pendant ce qui leur semblait être des heures. Ils étaient bien plus vivant ensemble.

Il pouvait bien y avait la fin du monde en approche ils en avaient que faire. Ce qui comptait vraiment pour l'instant était eux deux.

Courir,

Sauter,

Tomber,

Rire,

S'aimer.

C'était pourtant évident, pourquoi ne l'avaient-ils pas vue plus tôt ? Mais bien évidemment aucun des deux ne ferait le premier pas.